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soir%C3%A9e troc

Wonder déo

6 avril 2006

deoLes filles j’ai un grave question : est-ce que l’une d’entre vous a réussi à trouver un déo qui marche ??

Quand je dis qui marche, ça veut dire vraiment, genre on sent rien jusqu’au soir. Pas le truc qui sent le frais pendant 2 heures et le chaud tout le reste de la journée.

J’en essayé à peu près tout ce qui existe sur le marché ; partant du principe qu’un mec est une bêêête et qu’il transpire plus, j’ai même essayé les trucs masculins dans l’espoir qu’ils seraient plus costauds. Que dalle, évidemment. RIEN ne marche, ou alors seulement quand il fait 5 degrés, je voudrais pas dire mais c’est un peu facile dans ces conditions.

Qu’on le paye 2 € chez Monop ou 25 chez Dior, le résultat est le même, ça tient jamais toute la journée.

Les machins qui promettent 48 h de tranquillité vous permettent à peine de faire 200 mètres à pied, quant aux anti-traces blanches heureusement qu’ils ont cette propriété, parce que c’est bien la seule.

On m’assure que la lasérification de la zone tuera les glandes sudoripares en même temps que les bulbes pileux, ce qui devrait réduire le problème mais quand même, je suis un peu stupéfaite qu’AUCUN produit ne soit efficace.

J’ai une copine qui se balade toujours avec un déo dans son sac et qui en a un autre dans le tiroir de son bureau, tellement ça la saoûle. Je ferais bien pareil mais mon sac pèse déjà 8 kilos et le saucisson prend toute la place. Et puis j’ai pas envie d’en remettre toutes les cinq minutes, mon but c’est de trouver le machin efficace pour la journée, bon sang de bois.

Si quelqu’un a une solution (sans venir sous entendre que je suis pas normale, je suis très classique sur ce point simplement j’aime sentir bon tout le temps), je suis preneuse, et je parierais volontiers que je ne serai pas la seule ;-)

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Soirée fonds de placards, les coulisses

31 mars 2006

facholandL’autre jour je suis allée me bourrer de trucs délicieux avec Lili au resto. On a beaucoup parlé, évidemment, et elle m’a un peu ouvert les yeux sur les coulisses des soirées appelées troc jusqu’ici, et les conditions de réussite. J’ai pris conscience de ma grande naïveté (ambiance Bisounours garantie avec moi), et me suis rendu compte que j’avais agi un peu à la légère, notamment pour les soirées délocalisées. Lili nous a écrit un topo pour expliquer comment ça marche (bien, plutôt que mal), c’est très important, je vous engage vivement à le lire pour rattraper ma légèreté.

« Le 25 février dernier nous avons fait une soirée dons de tops trop petits/trop grands et de restes de soldes malavisés, cession gratuite de bottes et escarpins, cadeau de parfums neufs, de rouges à lèvre en parfait état et de soutif trop justes, qui fait tellement envie à tout le monde que la France entière, plus Pékin, veut faire la même chose.

Bonne idée.

Léger détail, Hélène n’a pas révélé tout ce qui s’était passé avant pour que cette soirée réussisse.

Vu qu’à mes moments perdus je suis ministre de la Justice ici, je trouve équitable d’informer Facholand en entier.

Vous vous en doutez peut-être mais aucune n’était venue avec l’idée de faire une bonne affaire, personne n’avait apporté ses factures, ni la moindre calculette, ni un chèque ni du cash. Juste avec l’intention de passer un bon moment avec des copines.

Nous étions chez Esme et sa colocataire. Nulle ne lui a piqué son argenterie, n’a gerbé de champagne sur la moquette, n’a tout bu tout mangé sous prétexte que c’était gratos(*), n’a cassé de carreau, n’a fait les sacs à main ni taxé de CD, personne n’a arraché de jupe ou de
jeans des mains des autres en hurlant “Je l’ai vu avant!”.

Ho? Pourquoi?

Ah mais oui, au fait, pourquoi Esme a reçu tout ce monde sans crainte?

Comment ça, attendez, glups : Esme a ouvert sa porte et son appart’ à une dizaine de parfaites inconnues virtuellement rencontrées sur internet?

Mais elle est folle! Eh bien, en fait, il n’y avait pas tant d’inconnues que ça.

On se connait du forum de marmiton.

Oui mais Lili tu débloques, un forum c’est autant virtuel qu’un blog.

En effet, sauf que, et d’une, ça fait des années qu’on s’y dit des bêtises par écran interposé et qu’à la longue, on a repéré le genre qu’on est ; et de deux, on s’est presque toutes déjà vues en vrai.

Allons bon, les cachottières? Comment ça, qui ça?

Moi par exemple, j’avais déjà été au resto avec la plupart d’entre elles, ensemble ou séparément: une ou plusieurs fois avec Esme, avec Hélène, Zabelle, Alice, Marion, LN. Hélène a amené sa meilleure amie et je crois que la seule qui ne connaissait personne en vrai était Kabibi.

Je crois que la réussite de notre soirée repose sur les succès des rencontres marmiton qui ont précédé. La plupart se sont bien déroulées.Mais pas toutes : par deux fois, deux pourrisseuses
d’ambiance différentes ont gâché la vie de plein de filles trop discrètes pour le raconter sur le net, mais qui s’épanchent tout de même.

Dans les deux cas, les casse-pieds étaient relativement novices dans l’univers marmiton. Elles se sont prises pour des stars et ont voulu régenter les autres, prendre la direction des opérations. Elles se sont particulièrement acharnées contre certaines habituées. Bref, des boulets à ne plus fréquenter.

Comment éviter cet écueil dans une soirée Facholand?

Je crois qu’il vaut mieux faire un peu connaissance autour d’un verre en ville ou d’un moment de shopping par exemple, avant de décider de se consacrer mutuellement une soirée ou une aprèm dont on espère beaucoup.

Dans une soirée où tout le monde se découvre, c’est dur de mettre la bonne ambiance.
Si on a un tant soit peu de chose en commun (un café serré et un déca sans sucre ensemble au bar de la gare la veille, par exemple), ça permet de démarrer sur quelques bases souriantes.
Sinon, c’est comme faire une fête avec les voyageurs du train : beaucoup de risques de se faire iech.

Et ça peut être une très bonne idée de faire une réunion Facholand & dons dans un endroit public, un square, une brasserie, on n’est pas absolument obligées d’aller chez quelqu’un.

J’encourage les Facholandienes qui croient que rencontrer les gens du net en vrai, c’est le délicieux monde des bisounours, à tout faire pour que ça le soit: mettez toutes les chances de votre côté.
Filez-vous d’abord des rendez-vous dans des endroits publics neutres pour une courte activité anodine à partager en temps limité. Vous verrez bien s’il y a affinités, atomes crochus ou crochets du droit prêts à partir. Vous verrez surtout que nous sommes toutes libres et égales: nulle n’a envie de tomber sur une cheffe de meute qui croit diriger sa famille ou sa classe de maternelle, pas plus que sur une bavarde sur pilotage automatique. »

lili, ministre de la Justice

(*) « Si, en fait, les potes de la colocataire réunis dans une autre pièce ont un peu vidé le saladier de cosmopolitan sous prétexte qu’il y en avait. Mais on les connaissait pas, donc ils n’entrent pas dans ma démonstration. Ou plutôt si, réflexion faite, ça renforce ma démonstration, donc retournez lire le reste. »

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Mon nouveau bureau

30 mars 2006

elleJ’avais pourtant dit que j’irais pas bosser en banlieue…vouaye, mais pour aller chez Hachette Filipacchi à Levallois il faut passer le périph, pas moyen d’y couper.
Et chez Hachette Filipacchi à Levallois, il y a la rédaction de Elle.fr et Elle tout court. Ca motive, pour passer le périph.
Voici donc mon nouveau bureau virtuel (mon honneur est sauf, je bosse surtout chez moi) : la nouvelle version de Elle.fr,
mise en ligne hier soir. Elle est vachement mieux que l’ancienne qui était moyennement excitante, et en plus elle est entièrement accessible à tous, alors que l’ancienne était à moitié réservée aux abonnés, c’était pas dans l’esprit du web, à mon sens.

Je m’occupe de l’animation des blogs (ceux des journalistes de la rédaction et ceux des internautes) et du Forum.

Je suis complètement ahurie d’être là alors que je m’ennuyais à mourir à organiser des voyages il y a encore six mois, et qu’une telle perspective me paraissait mille fois trop belle pour être vraie !

Réaliser un rêve à 36 ans c’est un sacré cadeau du ciel, et découvrir qu’on peut changer complètement de métier ça ressemble un peu à un miracle !

Tout ça grâce à mon blog. Je n’osais espérer, en le créant il y a six mois, qu’il m’aiderait à me reconvertir !

Allez, romanée conti pour tout le monde, c’est ma tournée ! ;-)

PS : Il reste quelques bugs qui traînent ici et là, soyez indulgentes ;-)

PS 2 : le site fonctionne beaucoup mieux sous Internet Explorer que sous les autres navigateurs, donc n’est-ce pas bien sûr, y’a plus qu’à. Enfin vous faites comme vous voulez, mais moi j’aime autant un truc qui marche ;-

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Je veux des K Jacques !!

29 mars 2006

kjacquesBon finalement je veux pas les spartiates Clergerie, j’avais complètement oublié que je rêve de K Jacques depuis l’aube des temps.

Vous allez brâmer en coeur (à part les filles du sud, qui savent, elles) : c’est quoi des K Jacques ?? C’est la perle de la tropézienne, le gratin de la sandale plate, la rolls du nu-pied en cuir naturel.

Je savais pas qu’on en trouvait à Paris (l’atelier est à saint Tropez, donc, et visiblement assez fermement cramponné à son bled), et pis ça coûte un peu 120 €, cher pour des pompes qu’on porte 15 jours par an.

Mais là j’en ai vu dans une boutique rue du Dragon et ça dit sur le site officiel et tropézien qu’il y a une boutique rue Pavée dans le Marais, un quartier fréquentable et même pas loin de chez moi.

Il m’en faut, ces sandales sont le summum de la boboitude, et en plus elles sont belles et faites à la main.

Toutes les stars des années 50 en ont possédé (les leurs étaient faites sur mesure, j’irai pas jusque là), rien que pour ça j’en veux.

Il ne fait aucun doute qu’elles me feront horriblement mal aux pieds (l’été seules les tongs H&M à 6 € ne me font pas mal aux pieds), mais je m’en fous, j’en veux.

Il me faut les classiques en cuir naturel qui se patinera divinement au fil des ans et que je porterai jusqu’à la fin de mes jours avec une classe folle comme Audrey Hepburn (ou que je donnerai à la prochaine soirée troc parce qu’avec mes pieds de porc je pourrai pas faire deux pas).

Tiens je vais les demander pour mon nanniv, quelle idée merveilleuse, c’est l’Homme qui va être content de m’offrir trois lanières en cuir pour 3000 dollars !

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Soirées troc délocalisées : Oh Toulouse !

28 mars 2006

toulouseBon alors Anne Cé est très partante pour accueillir chez elle des hordes de filles déchaînées et doneuses de vernis à ongles ou plus si affinités.

Elle habite à Toulouse, toutes celles de la région qui n’ont pas peur de prendre le volant pour regagner ensuite leurs pénates sont les bienvenues, avec un cake aux olives dans une main et une robe Prada dans l’autre. Si pas de robe Prada, apportez deux cakes aux olives ;-)

Trêve de bêtises, si vous avez envie de participer à cette soirée troc (que nous avons appelée comme ça parce que ça sonne bien, mais il n’y a aucune obligation d’ECHANGER des choses, le but est de se débarrasser de ce dont on ne veut plus en faisant plaisir à quelqu’un), mettez un petit commentaire ici et n’oubliez pas de remplir votre adresse mail.

Je collecterai les adresses, et enverrai le tout à Anne-Cé pour qu’elle se mette en contact avec vous.

Pour la date vous verrez ça ensemble, là c’est plus mes oignons ;-)

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Soirées troc délocalisées : Metz

23 mars 2006

trocOr donc toutes les lectrices de ce blog ne sont pas parisiennes. C’est affreux mais c’est la vie (je plaisante les girls).

Y’en a des qui trouvent ça pas juste, qu’on fasse les soirées troc dans notre coin parigot sans qu’elles puissent jouer avec nous.
Je suis bien d’accord et propose donc d’instaurer les soirées troc délocaliséess, loin de Paris (enfin loin comme vous voulez hein, c’est vous qui décidez).

On pourrait commencer par l’est parce qu’une lectrice de Metz m’a conté son désarroi par mail, z’en pensez quoi ? En général dans les groupes sympas il y a toujours des gens de cette région, y’a qu’à voir Marmiton, c’est bourré de metzois (non je sais pas comment on dit, je suis irrécupérable).

Y a-t-il des filles que ça intéresse ? Quelqu’un pour accueillir tout le monde chez elle autour de cakes maison apportés par les unes et les autres et d’un grand saladier de Cosmo (la boisson officielle de la soirée troc) ?

Si oui, je vous propose de laisser ici un commentaire, et de remplir la case prévue pour l’adresse mail (qui n’apparaît pas dans le commentaire mais que je peux voir dans l’interface d’administration). Je centraliserai le tout et enverrai les adresses à l’organisatrice pour qu’elle puisse contacter tout le monde.

Les filles, à vos placards / trousses de toilette / armoires à chaussures / vestiaires à sacs / bibliothèques… !

PS : si l’une de vous a envie d’organiser une soirée troc à Rennes ou à Maubeuge, qu’elle mette un petit commentaire pour le signaler, ou qu’elle m’envoie un mail, je ferai un billet pour l’annoncer.

PS 2 : Anne Cé propose de vous accueillir chez elle à Toulouse, s’il y a des filles du sud-ouest qui ont trop de paires de chaussures, elles savent ce qui leur reste à faire ! ;-)

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Le blog du jeudaïe soir

16 mars 2006

Le voilà les girls, le blog grâce auquel je découvre les autres (celui des schtroumpfs, par exemple) : Un blog par jour ; d’abord il est beau et super élégant, ce qui est très important pour moi, et il donne chaque jour l’adresse d’un nouveau blog à découvrir.

La plupart sont très intéressants, il y a absolument de tout (les schtroumpfs aussi bien que la littérature en Lituanie, par exemple, l’éventail des sujets abordés est très larges), c’est une belle ouverture sur la blogosphère.

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Blogs de filles à la téloche

15 mars 2006

hélèneFigurez-vous qu’il nous arrive un truc super marrant, à Deedee, Nadia et moi, nos blogs vont passer à la téloche (et nous avec, tant qu’à faire).

Ca se passe sur France 5, il faut donc avoir le câble, elle est bien bonne, Maman tu ne vas pas pouvoir regarder ta fille causer dans le poste !

L’émission s’appelle Le journal du blogue (drôle d’idée de l’écrire comme ça non ?), et passe le dimanche à 12h30 (ou 35, je sais plus, mais si vous voulez pas la rater soyez devant vos télés à 12h30, elle dure que 5 minutes).

On nous verra pas des heures vue la brièveté de l’émission, mais ça va être fun ! La présentatrice est très sympa et l’émission moderne et dynamique, ça me plaît bien.

Si on la rate le dimanche on peut la regarder toute la semaine qui suit sur le site internet de la chaîne.

J’aurais jamais cru que ça prenait autant de temps de faire une interview aussi courte, la journaliste et le cameraman sont restés presque une heure et demie chez moi, avec un matos pas possible, j’étais comme une poule devant un passeport.

J’ai vaguement pensé ranger mon bordel avant leur arrivée, puis j’ai renoncé devant l’ampleur de la tâche. Tant pis, la terre entière saura que je campe sur un tas d’ordures, j’assume. Et pis y’avait du PQ cette fois-ci, on peut pas tout avoir (y z’en ont même pas profité, c’était bien la peine).

Je n’ose pas imaginer la tronche de quiche que je vais avoir à l’écran, parler avec naturel seule face à une caméra, j’ai pas été habituée.

Quand le cameraman a éteint le spot on aurait dit que la nuit tombait brutalement dans mon salon, ça éclaire vachement ces machins, je devrais peut-être songer à en mettre un dans la salle de bain pour quand je m’épile les sourcils, je fais toujours ça à moitié à tâtons…

Hélène

deedeePour moi, ça n’était pas gagné le championnat non plus. Parce que l’air de rien, j’avais beau ne pas être filmée dans mon chez moi assez chaotique en ce moment bien que lui aussi pourvu en papier toilette, la tâche n’en était pas plus aisée pour autant.

Après moults échanges et au moins autant de tergiversations de l’équipe « on se retrouve ici. Euuuh non, en fait là. Euuuh là mais si on change l’heure, c’est bon ? » j’en passe et des meilleures, rendez vous est pris à Sèvres Babylone en fin d’après midi. J’arrive sur place à l’heure, une fois n’est pas coutume, et découvre avec stupeur qu’une bonne vingtaine de cars de CRS (et autant de commentaires grivois de la part de leurs occupants… Pathétique) ont envahi le quartier.

Damned, la rue où je vais est barrée à cause des manifs anti CPE !! Comme si ça ne suffisait pas, le cortège n’est pas très loin et on entend les cris scandés par la foule en délire « Non au CPE ! Tous ensemble tous ensemble ouais, ouais »… Aaah vraiment, j’ai eu une l’idée du siècle en fixant le rendez-vous ici, c’est tout moi ça…

Après un bon quart d’heure de retard, autant de pluie et de vent sur mes beaux cheveux patiemment brushés qui du coup ne ressemblent plus à rien (même pas mal…), et d’impatience teintée d’une vague appréhension, nos deux compères arrivent. D’entrée de jeu, nous sommes à tu et à toi, avec bise en guise de présentation. J’adoooore le show business, je vais y prendre goût je vous le dis moi. La journaliste est aussi sympa que par téléphone, tout comme le cameraman qui commence une longue série de turpitudes gaguesques :

Pour commencer, le jour décline. C’est donc raté pour les prises en « plein air ». Tant pis, on attaquera directement dans le magasin dont j’ai choisi de parler. Hélène a raison : on ne se rend pas compte du nombre de minutes filmées pour un résultat de quelques secondes !

Dans ledit magasin, je me livre à un jeu de questions réponses orchestré par la journaliste et tout se passe relativement bien, jusqu’à ce que le cameraman affiche un rictus horrifié : plus de batterie ! Nous écourtons donc les dernières prises, à moitié flinguées qui par un badaud qui passe et s’éternise un peu trop devant moa (quelle idée !), qui par un bruit inopportun. Enfin, au bout d’une petite demi heure, le résultat est dans la boîte. Frustration extrême lorsque l’équipe me dit que non, ils ne pourront pas filmer nos retrouvailles de fille puisque plus de batterie…

Deedee

nadiaEt moi j’attendais tranquillement les filles au Pub pour notre premier RDV, j’étais dans mes petits souliers. J’ai beau faire ma star de temps en temps, j’ai pas franchement l’habitude d’être suivie par des caméras quand je vais prendre un verre avec des copines!
Mais remettons un peu les choses dans leur contexte : j’arrive au bureau le mercredi matin en direct de Marrakech et voilà que j’ai un mail de Hélène dans ma boite me disant qu’une journaliste adôôôrerait nous filmer et nous interviewer le soir même, puisque on doit se voir pour un apéro de girls. Vous savez à quoi j’ai pensé immédiatement? À mon bronzage! Ben oui, tant qu’à faire, autant immortaliser mon teint pain d’épice et que la terre entière (on peut toujours rêver!…) puisse l’admirer! J’ai un peu fait ma niçoise sur ce coup-là…

Mais bon, pendant que Deedee donnait son interview, Hélène est arrivé, on a fait copines genre on se connaît super bien, et on a attendu la suite des événements sans savoir si une caméra allait vraiment débarquer. Et c’est à ce moment-là que la batterie a décidé que deux nanas filmées pour la journée suffisaient amplement… et je n’ai pas été interviewée…Sniiiffff!!!!

Non, non, non, je blague : c’était de toute façon un bonne soirée, et j’ai filé me faire tirer le portrait dans une cabine photomaton…pour l’immortalisation!…

Nadia

Le Journal du blogue, dimanche 19 mars, 12h30, France 5.

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Six mois sans acheter de chaussures !

15 mars 2006

chaussuresJe viens de réaliser que j’avais passé les six derniers mois sans acheter une seule paire de chaussures. C’est délirant, ça ne m’est jamais arrivé de ma vie (je suis née avec une Carte Bleue Visa dans une main et un verre de vin dans l’autre, la sage-femme était un peu estomaquée).

Je suis sûre que c’est très mauvais signe, il va bientôt falloir m’abattre.

En attendant j’ai acheté celles-ci hier, j’en suis trèèèès contente. Oui voyez-vous il me fallait quelque chose pour remplacer mes bottes chéries quand il fera trop chaud.

J’ai horreur d’avoir chaud aux pieds, ça me rend dingue. D’ailleurs souvent je dors avec juste les pieds qui dépassent de la couette, mais vous vous en foutez et vous avez raison, revenons à nos poneys.

Or donc il va bientôt faire trop chaud pour porter des bottes. Ne ricanez pas, les sudistes, qui vivez en tongs depuis le 15 février, un peu de grandeur d‘âme s’il vous plaît.

J’étais ennuyée à l’idée du redoux (comme quoi tout est possible dès lors que la fashion est en jeu), parce qu’à part des bottes, j’ai des ballerines ou des tongs.

Les ballerines c’est sympa avec un jupon, mais avec un jean pas slim, sur moi c’est épouvantable. On dirait que j’ai le derrière qui traîne par terre, ça m’avantage pas du tout.
Les tongs je vous fais de dessin, on n’y est pas, les girls.

Il me fallait des trucs à talons, pas aiguilles, pas dadame, confort et mode à la fois. Comme des bottes mais en moins chaud quoi.

Et ben j’ai trouvé dites donc ! Et j’ai même pas fait exprès, je suis tombée dessus absolument fortuitement, alors que je traînais le nez au vent rue du Commerce (j’adore cette rue pour le shopping, on n’a pas l’impression d’être à Paris).

Comme vous pouvez le constater par vous-même (j’ai essayé d’effacer la marque avec Photoshop, mais je sais absolument pas me servir de ce truc et ça faisait un gros pâté bleu, j’ai laissé tomber), je les ai trouvées chez Eden Shoes. Ce n’est donc pas la qualité Minelli, mais c’en est presque le prix (75 €). Une affaire en or, comme j’en ai le secret ;-)

Bon entre nous je m’en fous complètement, du moment qu’elles tiennent le printemps (et éventuellement un bout de l’automne), ça m’ira très bien.

Le fait qu’elles soient compensées est une riche idée, c’est aussi confortable que du plat mais sans l’impression du boum-boum qui rase le sol, donc en réalité vachement plus avantageux que le plat. Elles ont la bonne couleur (beige vieilli, si quelqu’un les vois taupe ou gris je ferme mon blog), avec des plis et des clous, tout ce que j’aime.

Evidemment elles me font mal aux pieds, qui a posé cette question bête ? Les chaussures neuves me font TOUJOURS mal aux pieds, mais des fois ça s’arrange.

Et si ça s’arrange pas, vous les aurez à la prochaine soirée troc ;-)

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Soirée troc, le compte rendu

27 février 2006

trocSamedi 25 février avait lieu à Paris la première soirée troc facholandienne.

Esme s’était courageusement portée volontaire pour accueillir chez elle des hordes d’inconnues déchaînées par la perspective de dégotter le sac Balenciaga dont une copine ne voudrait plus, et tout le monde avait promis d’apporter un truc à manger pour qu’on se batte pas l’estomac vide autour du sac en question.

Après avoir retourné mon armoire et essayé douze tenues, hésitant à me la jouer Facholand à mort sa race et tenue girlie-pétasse, j’ai opté pour le confort et la simplicité. Donc jean-bottes-pull-cheveux attachés-lunettes (pour voir les gens, sinon autant rester devant ma télé). Un bon petit look de bonne soeur, mais tant pis, pour être assise par terre pendant quatre heures d’affilée, c’était pas plus mal.

J’avais l’intention de me rendre sur les lieux en taxi, histoire de pas m’embêter avec mes douze bignaches (ça veut dire sacs dans mon patois maternel) dans le métro, mais Marion a gentiment proposé de passer me prendre en voiture.

C’était une idée atroce (comme quoi une bonne action vous retombe toujours sur la gueule), on a passé une heure et demie dans les embouteillages parisiens du samedi soir. Je me plaignais amèrement de crever de faim pendant que Marion s’égosillait « j’en ai marre !!! » par le vitre baissée. Un vrai bon moment girlie ;-)

Sur la voie Geroges Pompidou on a failli se taper le cake morbier-bacon et la vodka qui étaient dans le coffre, tellement on en avait marre.

Mais la soirée méritait ce petit passage difficile. Celles qui n’ont pas pu venir devraient s’inscrire dès maintenant pour la prochaine ;-)

Une fois les appétits calmés (et un saladier de Cosmo vidé), on a mis tout ce qu’on avait apporté au milieu de la pièce, on s’est assises par terre autour et on a commencé à examiner le butin.

J’avais crains qu’on se batte pour une paire de pompes, mais chacune était hyper bien élevée (comment ai-je pu en douter ??) et vérifiait systématiquement qu’elle était la seule sur le coup avant d’embarquer un tube de fond de teint, un sautoir ou un pull.

L’une ou l’autre partait de temps en temps dans la chambre d’Esme essayer un pantalon ou un soutif, poussée par les autres « mais si essaye le, ça va t’aller hyper bien », puis « mais si prend le ! mais non personne d’autre n’en veut ! ».

J’ai notamment récupéré une magnifique paire d’escarpins Sonia Rykiel en daim marron à talons vertigineux, apportés par Valérie_B, et un grand flacon de Cristalle, mon parfum préféré entre tous, auprès d’Alice. Je peux vous dire que j’étais assez ravie !

Beaucoup de choses ont changé de mains, et je suis repartie moins chargée que je ne l’étais en arrivant (pas mal non ?).

J’ai eu l’impression que tout le monde passait un bon moment, quand est-ce qu’on recommence ? Ah oui, va falloir qu’on aille acheter d’autres trucs à donner, d’abord ! ;-)

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