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Sandales Unisa mod%C3%A8le Rita

Yihou ! Yihou !

14 avril 2006

tongsJ’ai des K Jacques. Et voilà. C’est la folaïe. Je fais partie de la hype mondiale (à ceci près que la hype mondiale n’a pas de pieds de porc, mais personne n’est parfait).

En fait je les ai pas vraiment, mais je sais où elles sont cachées : l’autre jour j’avais à faire dans le Marais (j’adore cette expression, c’est méga ringue), j’en ai profité pour opérer un repérage K Jacques, j’étais à deux pas j’allais pas laisser passer une occase pareille.

La boutique est microscopique et dans un renfoncement, je l’ai loupée deux fois avant de la voir. Une fois dedans, j’ai failli tout acheter (enfin vu le prix de la paire de tongs il vaut mieux être capable de faire un choix, mais ne soyons rabat-oije).

J’ai essayé le modèle que je convoitais, en cuir naturel. Je suis au regret de reconnaître que ça fait méchamment des pieds de curé. Ca va pas être possible.

Dieu merci (c’est le cas de le dire) ils ont plein d’autres modèles et couleurs, dont un bronze sublime qui déchire sa race, sur des tongs splendides.

L’Homme ayant proposé de me les offrir pour mon nanniv, il aurait été de bon ton que je revienne les chercher avec lui, plutôt que de juste lui demander un chèque en rentrant avec mon butin comme une femme maigre et entretenue du 8ème arrondissement.

Mais j’ai eu trop peur que d’ici là ils aient plus ma taille, ou plus de bronze, ou quoi que ce soit d’affreux. Je les ai donc prises, et suis rentrée la bouche en coeur avec mon paquet.
L’Homme les a cachées jusqu’au jour J, mais je sais où elles sont, je vais pouvoir aller les admirer de temps en temps (la photo a été prise avant qu’il rentre, des fois que le procédé lui déplaise).

PS : je vous signale à cette occasion un autre site de sandales, à tomber par terre et faites à Florence, un peu du même acabit que K Jacques et portées par les stars californiennes depuis les années 60. Je suis pas certaine de pouvoir résister, j’aime autant vous le dire.

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Je veux des K Jacques !!

29 mars 2006

kjacquesBon finalement je veux pas les spartiates Clergerie, j’avais complètement oublié que je rêve de K Jacques depuis l’aube des temps.

Vous allez brâmer en coeur (à part les filles du sud, qui savent, elles) : c’est quoi des K Jacques ?? C’est la perle de la tropézienne, le gratin de la sandale plate, la rolls du nu-pied en cuir naturel.

Je savais pas qu’on en trouvait à Paris (l’atelier est à saint Tropez, donc, et visiblement assez fermement cramponné à son bled), et pis ça coûte un peu 120 €, cher pour des pompes qu’on porte 15 jours par an.

Mais là j’en ai vu dans une boutique rue du Dragon et ça dit sur le site officiel et tropézien qu’il y a une boutique rue Pavée dans le Marais, un quartier fréquentable et même pas loin de chez moi.

Il m’en faut, ces sandales sont le summum de la boboitude, et en plus elles sont belles et faites à la main.

Toutes les stars des années 50 en ont possédé (les leurs étaient faites sur mesure, j’irai pas jusque là), rien que pour ça j’en veux.

Il ne fait aucun doute qu’elles me feront horriblement mal aux pieds (l’été seules les tongs H&M à 6 € ne me font pas mal aux pieds), mais je m’en fous, j’en veux.

Il me faut les classiques en cuir naturel qui se patinera divinement au fil des ans et que je porterai jusqu’à la fin de mes jours avec une classe folle comme Audrey Hepburn (ou que je donnerai à la prochaine soirée troc parce qu’avec mes pieds de porc je pourrai pas faire deux pas).

Tiens je vais les demander pour mon nanniv, quelle idée merveilleuse, c’est l’Homme qui va être content de m’offrir trois lanières en cuir pour 3000 dollars !

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Histoire de ne pas déprimer totalement en ce dimanche de Toussaint…

26 mars 2006

clergerie… je vous présente un blog pour les accros de la pompe (la chaussure, pas l’exercice physique, vous êtes folles !).

En plus je suis sûre que vous manquez de prétextes pour acheter une 127ème paire de sandales (rien ne prouve que l’été arrivera un jour, mais ne nous sapons pas le moral si tôt dans la saison).

En voici quelques uns avec Talonnette, le blog qui ne parle QUE de chaussures (et depuis août 2004, pas mal non ?) !

Les photos mettent bien en valeur les modèles, permettent de voir de près à quoi ils ressemblent, et sont légendées avec finesse et humour par les trois auteures.

Evidemment la plupart des chaussures ne sont pas hyper ergonomiques pour aller chez Auchan (mais quelle idée aussi d’aller chez Auchan ??), ni très économiques, mais j’aime beaucoup le principe et la présentation sobre et élégante.

Pour moi ça sera les spartiates argentées de Robert Clergerie, je menace dangereusement de craquer dès cette semaine malgré le temps scandaleusement pourri que nous avons ici (14 degrés et la flotte, ça va être sympa tiens, d’être pieds nus dans les flaques).

Je les imagine très bien sur mes petits pieds de porc bronzés pour l’occasion, dans l’ombre mouvante d’un platane avec une robe en voile de coton blancs… Délices et légèreté ! ;-)

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Argan, le verdict

2 février 2006

arganBon ben les filles, sur moi ça marche pas.

Je me suis ointe (on dit comme ça ? ça sonne un peu strange quand même, quand on est pas curé) de mon liquide puant le chameau rance tous les matins, je pense qu’après les semaines glaciales qu’on vient d’avoir le doute n’est plus permis : ce truc ne m’hydrate pas plus la peau que le reste. Et en plus ça sent mauvais. C’est la fête quoi.

Je sais plus quoi faire hein, je suis totalement desséchée, la hideuseté me guette sauvagement, et l’inconfort est mon lot quotidien (la peau qui tire à mort je souhaite pas ça à mon pire ennemi).

Je récapitule donc pour celles qui auraient pas suivi et posséderaient éventuellement le tuyau qui tue sa race contre le déshydratation hivernale : je mets des crèmes ultra hydratantes, de pharmacie (genre la plus costaud de chez Avène, parce qu’en plus je suis allergique à plein de trucs) ; j’ai essayé des sérums hydratants très chers ; je fais des masques hydratants genre deux fois par semaine ; je me démaquille plus à l’eau (dieu sait qu’il m’en coûte) mais à la lotion micellaire (de pharmacie aussi) ; j’ai pris des gélules d’Oenobiol hydratant pendant tout l’hiver dernier ; j’ai sacrifié deux coqs noirs à sainte Rita, et ai cloué des gousses d’ail sur ma porte d’entrée, à tout hasard.

Rien n’y fait.

J’en ai marre. Je vais finir par émigrer sous un climat tropical humide juste pour le confort de mon épiderme. Donc à Hawaï, j’en profiterai pour faire du plat à Sayid, et à Jack aussi parce que ces jours-ci je suis aussi amoureuse de Jack. Ou alors je me maquille plus (c’est quand je mets de la poudre que ça assèche tout, or je mets toujours de la poudre après le fond de teint, j’arrive pas à faire sans). En même temps pas maquillée je fais peur, ça va pas m’aider, pour séduire Sayid et Jack.

Même Elisabeth, mon esthéticienne bien aimée, ne sais plus quels conseils me donner.

Si quelqu’un a une idée (pour ma peau, pour Sayid et Jack je vais me débrouiller), je lui serai assez éternellement reconnaissante, je dois dire…

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Vous vous habillez comment pour Noël vous ?

22 décembre 2005

noelVous vous la jouez sapin rutilant avec breloques bling-bling des pieds à la tête, ou vous y allez en jean avec juste votre nouveau sautoir sur un top en satin ?

Petite robe noire ou tenue de créateur ?

Et vous allez chez le coiffeur exprès, ou vous êtes bien coiffée tout le temps et n’avez pas besoin de ça ?

Question maquillage vous en faites plus que pour une sortie dans l’année, ou vous restez dans vos classiques ?

Bref, c’est quoi votre pomponnage noëlique ??

Moi j’ai toujours la tentation de rester en jean avec un col roulé, parce que le 24 décembre il fait rarement 35 degrés, et les robes qu’on nous vend pour cette occasion sont à mon avis destinées à creuser le trou de la Sécu. Que des machins avec lesquels on se retrouve à moitié à oilpé dans la neige, pas pour moi merci.

Je sens que je vais me le faire confort classe, une fois de plus : pantalon de smoking, bottes à talons aiguilles, top en satin, cache-cœur bien chaud.

Oui parce que moi Noël je le passe chez ma mère, pas au Baron avec des peoples déchaînés qui dansent jusqu’au bout de la nuit et que donc on peut porter juste une robe en mousseline et des sandales à talons (jambes nues, évidemment).

Je suis contre cette tyrannie du dénudé en plein hiver arctique, ou alors faut que ma mère accepte de surchauffer à mort son appart dès ce soir, et je crois pas qu’elle va être d’accord, ça va faire crever ses plantes vertes.

Question coiffeur c’est pas la peine, je suis toujours à jour dans ma couleur et vue ma nature de cheveux le brushing est totalement vain, j’ai plus qu’à les attacher et à mettre plein de jolies barrettes (avec des diamants, on se refait pas).

Tiens je mettrai peut-être juste un peu d’huile pailletée d’or dessus, ça peut être sympa…

Pour le maquillage je vais en faire un poil plus que d’habitude, surtout maintenant que j’ai un beau fard à paupière Dior (le même qu’Esme, acheté sur ses conseils) et que le maquilleur du corner Dior du Bon Marché m’a adorablement expliqué comment s’en servir tout en me maquillant.

Chez Dior aussi une trouvaille rigolote, une espèce de gel qui dépose comme des perles d’eau sur les cils. Ravissant, mais je suis pas sûre que votre grand-mère apprécie la mesure de l’effort et la hypitude du truc… A garder plutôt pour le Nouvel An avec les potes branchés (enfin moi je fais rien pour le Nouvel An parce que ça me saoûle à mort, déjà que Noël c’est un gros effort, pas deux fois par pitié).

J’éviterai bien entendu le vernis à ongles pailleté, la surcharge de bijoux (bo + collier + bracelets + bagues, non franchement, y’a des limites, et si c’est une parure là je ferme carrément les yeux d’horreur), les collants à motifs ahurissants censés être chics, et le velours sauf en veste bleu canard ou gris mauve. Les trucs de dame quoi.

Quant aux vêtements ou chaussures dorés ou argentés, il est bien entendu que personne n’a l’intention de porter des trucs pareils, rassurez-moi ?? C’est réservé à Sharon Stone à Cannes, on est bien d’accord ?

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Sport, moi ? Jamais !

5 décembre 2005

sportAlors voyez-vous, ce délire du corps ferme, ce culte de la salle de gym, cette religion des abdos, je suis violemment contre.

J’ai eu, j’ai et j’aurai toujours HORREUR du sport et de l’effort physique.

Je me fous éperdument d’être molle à certains endroits, d’avoir du bide et de la cellulite.
Tout plutôt qu’aller transpirer en gigotant.

Sans compter que j’ai les fesses très rondes, et HYPER fermes (call me iron bottom), c’est le principal. Je trouve qu’il n’y a rien de plus triste chez une femme que l’absence de hanches ou de fesses. Comme dit Marion, « il faut une chute de reins ».

De ce côté-là je suis assez ravie de ce que la nature m’a donné, alors si côté face c’est moins glorieux je trouve pas ça très grave.

Bon ça m’a pas empêché de faire du sport dans ma lointaine jeunesse, bien obligée : quand j’étais minuscule je faisais de la danse, je m’en rappelle même pas tellement j’étais petite.

Au lycée la gym c’était ma terreur, j’étais supra nulle et les profs me détestaient (jamais réussi à monter à la corde par exemple, mes fesses, déjà présentes, m’empêchaient obstinément de décoller). Les trucs avec un ballon, je vous laisse hurler de rire en imaginant la scène, si j’ai réussi à jamais estropier gravement quelqu’un c’est uniquement un coup de bol.

J’ai séché les cours le plus souvent possible, et réussi à décrocher un 4 au bac (rattrapé par le latin où j’étais largement aussi nulle mais où j’avais appris toutes les traductions par cœur, j’ai plus de mémoire que de muscle). J’étais super fière, je méprisais à mort l’effort physique.

J’ai monté à cheval pendant quelques années, en même temps on a beau dire, c’est quand même le cheval qui fait le plus d’efforts. En plus j’avais la trouille, j’ai jamais été très bonne, je regrette pas d’avoir arrêté après m’être pété une épaule.

Depuis que je suis maîtresse de ma vie-mon œuvre, j’ai arrêté toute activité physique avec un soulagement intense.

Je prends TOUJOURS les escalators et les ascenseurs, on n’est pas au Moyen Age.

Si les ascenseurs du métro sont en panne à ma station (7 étages), je descends à celle d’après. Chez moi ça n’est encore jamais arrivé (sainte Rita, pas de blagues), si ça se produit j’irai dormir à la cave.

En revanche j’aime beaucoup marcher, allez comprendre ! Du coup dans le Luberon, où on passe sa vie en bagnole (le vélo par 40 degrés l’été et en plein mistral l’hiver, merci bien), j’arrive à me sentir frustrée de mouvement, comme quoi tout est possible, finalement.

Tout le monde me dit que je dormirais mieux, serais plus en forme et moins stressée si je faisais du sport (je suis pas stressée, je suis nerveuse, c’est pas du tout la même chose).

Je suis bien d’accord, j’ai toujours dit que le jour où j’aurai une piscine privée au pied de mon immeuble, je ferais mes longueurs tous les jours.

Et oui, chez moi la haine de l’effort se couple à une horreur absolue de la promiscuité.
Or le seul truc que je peux supporter, c’est nager : je n’ai pas à porter mon petit corps dodu, et les mouvements sont agréables.

Mais nager dans une rame de métro bondée, niet. Et les piscines parisiennes, c’est ça quelle que soit l’heure (l’Homme a essayé d’y aller à 7 heures du mat, c’était l’horreur, les gens sont complètement barjots).

Je suis d’accord pour être membre du Club Privé du Ritz, peu de monde dans la piscine, mais je suis pas certaine que ma banquière soit d’accord (et pis faut prendre le métro pour y aller, c’est pas cohérent).

Je vais donc me cantonner à l’exercice qui me sied le mieux, à savoir tourner une cuillère en bois dans une casserole pleine de crème fraîche, de parmesan et d’huile d’olive (si si, les trois ensemble c’est sublime avec des pâtes et des champignons), et me réjouir du rebondi de mes fesses dans mes jeans ! ;-)))

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Révélations culinistiques

2 décembre 2005

cuisineJe soupçonne Requia de sadisme avancé, moi qui me réjouissais sournoisement d’échapper aux questionnaires qui sévissent sur les blogs de cuisine, c’est raté, va falloir que je m’y colle.

Pfff, 10 révélations culinaires, z’êtes marrantes ! J’ai rien à révéler moi, je passe ma vie dans ma salle de bain à me nourrir de crème Nuxe, qu’est-ce que vous voulez que je révèle ?

Bon ma fille, courage, montre-leur, qu’avec ton bébé blog de fanfreluches tu peux le faire !

1. J’aime plus cuisiner. Aha, ça vous en bouche un coin, hein ?
Enfin j’aime plus passer ma vie dans ma cuisine à élaborer des trucs monstrueux qui prennent 8 ans. Avant oui, mais là c’est fini. Je me reconnais bien dans la phrase de Marion qui dit « je ne cuisine pas pour me détendre, il faut que ça aille vite ». Bien d’accord tiens.

En ce moment je préfère nettement cuisiner des trucs simples et bons au quotidien, que me lancer dans des dîners gastronomiques. Je trouve qu’il y a plein de trucs plus marrants à faire dehors (voir les copines, au hasard).

2. J’ai une passion délirante pour le sel, petite je le mangeais tout seul (et je continue à saucer discrètement mon assiette avec mon index quand des grains y restent). Je sais, je mourrai d’hypertension, je me suis fait une raison.

3. Je n’achète plus, depuis quelques mois, que des yaourts grecs.
J’ai beau détester Nestlé comme tout le monde, je prends ceux-là, ce sont mes préférés. Je les mange au petit déj avec du sirop de rose (le Mymouné de la Grande Epicerie, c’est le meilleur) et des pignons. J’ai arrêté d’acheter d’autres laitages, on les mangeait plus.

4. Quand je fais une daube (mon grand classique), je me tire faire du shopping pendant qu’elle cuit, la laissant toute seule sur le gaz.
Jusqu’ici j’ai réussi à ne pas foutre le feu à l’immeuble, mais d’après Nawal ça me pend au nez, faut que je fasse un détour par saint Germain des Prés pour mettre un cierge à sainte Rita, la prochaine fois.

5. Quand je fais tomber un truc par terre, en cuisinant, je le ramasse et je le remets dans la casserole. Je dis pas ça pour vous décourager de venir dîner chez moi, je vois pas du tout pourquoi vous pensez à ça ;-) Je suis juste pas une hystérique de l’hygiène, en plus y’a qu’à voir ce que ça donne sur ces pauvres américains nourris aux corn flakes aseptisés, ils regardent un camembert au lait cru et il faut les hospitaliser. Merci bien.

6. J’adore le pinard, d’ailleurs je suis alcoolique. Oui, on est considéré comme tel si on ne peut pas rester 7 jours sans boire d’alcool. Moi, clairement, je peux pas (et je veux pas, d’ailleurs). Je
trouve pas ça très grave, je fume pas, faut bien que je compense.

7. Je suis excédée par la propension de la génération d’au-dessus à servir de la salade avec le fromage. Je trouve ça d’un manque d’imagination total, ça m’énerve beaucoup. Sans compter qu’après une entrée et un plat, j’ai plus du tout faim pour du fromage.
Moi j’en sers jamais pendant un dîner, ou alors je fais carrément un dîner de fromages, pour qu’on les apprécie vraiment, sans avoir l’estomac plein au moment où ils arrivent, c’est du gâchis.

8. Ma consommation d’huile d’olive est effarante (j’en mets même dans les gâteaux, comme vous savez). J’ai horreur de la cuisine au beurre, d’abord le beurre chaud je trouve que ça pue, en plus c’est un passeport pour l’infarctus. Je me soucie pas beaucoup de ma santé, mais
là j’ai une bonne excuse pour me nourrir exclusivement d’huile d’olive, vue que la passion que j’ai pour ça, ça tombe bien.

9. J’ai pas foutu les pieds chez Mac Do depuis 15 ans, au bas mot.
C’est pas de la nourriture ce truc-là, et j’applaudis les mecs qui y mettent le feu (même si par ailleurs ça se fait pas etc, on est bien d’accord, pas de polémique là-dessus par pitié).

10. Ma cuisine est un bordel sans nom que j’adore, pour rien au monde je ne voudrais la changer pour un machin intégré qui ressemble à un bloc opératoire. Dans ma cuisine, j’ai l’impression d’être à la campagne, dans une maison de bric et de broc, je l’aime !

Ahhh ! J’ai réussi ! Même qu’il me reste des trucs à raconter dites donc !

Vous avez remarqué, je suis pas tombée dans la facilité de « j’aime pas les gâteaux », ou
« je supporte pas le chocolat », c’est pas des révélations, tout le monde le sait.

Je passe le flambeau à Marion, je suis sûre qu’elle va nous révéler des trucs pas piqués des hannetons !

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Retour à Facholand

30 octobre 2005

sourcils-dessin.jpgOui je sais je dessine comme un pied, quand vous aurez fini de rigoler on pourra peut-être s’y mettre ?

Les sourcils sont HYPER importants pour l’architecture du visage, ils peuvent magnifier ou tout foutre en l’air. Quand Rita Hayworth s’appelait encore Rita Cansino et qu’on ne lui avait épilé ni les sourcils ni les cheveux (oui la pauvre avait le front trop bas selon les standards d’Hollywood, obligée de s’épiler l’implantation des cheveux, en même temps ça change du maillot brésilien), elle était moins classe, il faut l’avouer…

Je vais pas vous faire l’historique de la mode de l’épilation du sourcil, d’abord j’y connais rien et ensuite on n’est pas là pour ça. Cet article vise à déterminer avec une précision scientifique et millimétrique quels sont les poils à enlever pour ouvrir le regard tout en gardant sa personnalité et sans risquer au final de ressembler à une star du muet (tout épilé, un trait de khôl, l’horreur).

D’où le dessin.

Aha, vous rigolez moins, tout d’un coup.

Je peux l’asséner avec d’autant plus de vigueur que je ne suis pas à l’origine de ces lois sourcilliesques : on fait deux lignes (regardez sur le dessin, je l’ai fait pour éviter des explications longues et oiseuses), imaginaires ou réelles (le khôl part très bien avec du démaquillant), et on a le droit de toucher ce qui est à l’EXTERIEUR UNIQUEMENT.

Mon dessin est mal foutu, la fille a le nez trop long, le résultat est bizarre, mais normalement on comprend où je veux en venir.

Si vous épilez à l’intérieur de ces lignes votre sourcil sera trop court et vous mettrez en péril l’architecture de votre visage. Je dis pas que vous avez pas le droit, je l’ai fait quand j’avais 15 ans parce que j’étais mal renseignée sur le sujet et qu’à cet âge de toutes façons on peut pas dire qu’on maîtrise son apparence, simplement ça déséquilibre tout, et le regard le premier.

Si vous ressemblez à Frida Kahlo (ce que je ne vous souhaite pas, il n’y a pas que les sourcils qui ne vont pas chez elle, à mon sens ;-)) ce sera hyper satisfaisant et gratifiant, une vraie transformation !

Vous avez l’autorisation d’épiler le dessous du sourcil (la paupière fixe donc), le dessus non. Il faut lui laisser sa liberté, au sourcil, sur le dessus. Sinon ça va vous figer grave le visage.
En plus sur le dessus ce sont des petits poils tout fins qui rejoignent harmonieusement le duvet du front (comment ça vous avez pas de duvet sur le front ? moi j’en ai partout, sauf sous les pieds et sur la paume des mains, comme les singes quoi), et si vous épilez ça les transforme en gros poils et ça brise l’harmonie.

Allez-y mollo, même dessous, un sourcil trop fin c’est pas joli du tout et ça vieillit, l’idéal est que ça soit le plus naturel possible, il ne faut pas que l’intervention humaine saute aux yeux.

Je suis assez contre l’épilation à la cire, pour les sourcils (jamais fait, personnellement), parce qu’on retire le duvet en même temps que les poils, et ça fait justement partie des chose que je trouve très anti-naturelles.

Au moins à la pince on choisit ce qu’on enlève, il n’y a pas mieux.

J’ai eu des tas de pinces achetées trois francs six sous chez Body Shop, qui épilaient que pouic ou cassait le poil au lieu de l’arracher (très énervant). Du coup j’ai investi dans une pince de pharmacie, un poil plus chère (j’ai le droit de faire de l’humour nul, j’ai été malade), mais c’est un vrai pitbull : quand elle tient un poil elle ne le lâche plus.

Evidemment il faut surveiller la repousse, et enlever les poils au fur et à mesure qu’ils réapparaissent. Mais bon ça prend 3 secondes par jour, on peut pas dire que ça soit l’esclavage absolu non plus.

Ah, une dernière chose : je termine toujours mon maquillage par un coiffage de sourcils (avec la petite brosse de la photo). Vous moquez pas, c’est ma sœur qui m’a convertie et elle a bien raison, c’est plus net.

Je précise quand même, parce que c’est trèèès important, que certaines d’entre nous n’ont pas besoin de s’épiler les sourcils car ils sont naturellement ravissants (mon amie Julie par exemple, ou la charmante Célia – si elles épilent elles sont hyper bonnes, croyez moi, un naturel pareil j’ai jamais vu ça), donc ces conseils facholandiens ne valent pas pour toutes, n’allez surtout pas saccager ce que vos gènes vous ont donné si c’est joli au naturel !

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