Mon billet du jour chez Avène : les ingrédients listés ou pas

22 avril 2016

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Aujourd’hui sur le blog d’Avène je parle de réglementation Européenne et d’ingrédients, ça sonne bien aride comme ça mais en fait c’est super intéressant, allez voir, je suis sûre que ça peut vous apporter des choses !

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Le soin

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21 commentaires

  • #1 Isabelle B. le 22 avril 2016 à 11 h 05 min

    Bonjour,
    J’ai posté mon commentaire sur le blog Avène, j’espère que ça marche aussi…

    ↰ Répondre
  • #2 TatieTara le 23 avril 2016 à 10 h 38 min

    Bonjour Hélène, bonjour à tous !

    Merci pour ce billet très intéressant , mais si tu décides de faire le tour des petites et grosses hypocrisies en cosmétique, tu auras de quoi publier un billet par jour pendant 10 ans .

    Effectivement, à moins de ne pas utiliser d’eau ou de conditionner une formule dans un tube à bouchon anti- contamination (merci Avène ), un produit contenant de l’eau, même en petite quantité, ce qui est rarement le cas pour une crème hydratante, il est important d’assurer au consommateur que son produit sera exempt de germe après ouverture du tube ou du pot ( et même avant, hein) et ce pour une durée normale d’utilisation allant de 3 mois à un an après ouverture .

    Alors oui, certains conservateurs sont plus controversés que d’autres.
    Le premier souci, étant les allergies, le second portant sur d’éventuelles conséquences sur la santé à moyen ou long terme .
    Tout est une question de dosage mais aussi de cumul de produits .
    Chaque produit en soi est supposé être safe en ce qui concerne le dosage . On a moins d’indications en ce qui concerne l’utilisation d’une gamme entière ( dans la même marque, donc) et si on mélange les gammes et les marques, on est dans le flou total, surtout si l’on adopte une routine composée de produits venant des quatre coins du Monde .
    La législation change , selon que l’on est en Europe , aux USA , en Afrique du Sud ou en Océanie ce à quoi s’ajoute des problèmes de lisibilité dans tous les sens du terme .

    Vous trouvez en Asie , des produits ( qui peuvent être excellents, attention !!!) mais dont la liste des ingrédients ne vous sera proposée qu’en idéogrammes . Et obtenir la liste INCI en Latin peut relever du parcours du combattant .

    Aux USA, tout ce qui est contenu pour moins de 1% peut être omis de la liste des ingrédients mise à la disposition du consommateur , à moins que cette marque ne soit vendue physiquement sur le sol U.E. ( Du Lauder ou du Rubisntein acheté en France chez Séphora, au Printemps ou chez Nocibé propose une liste exhaustive des ingrédients contenus dans la formule ) . Bien souvent, ces marques jouent la transparence sur le sol Américain aussi .

    Mais certaines marques pas encore vendues physiquement sur le sol E.U et commandés sur un site Américain peuvent, en toute légalité , proposer au consommateur , une liste tronquée .
    C’est au fabriquant de décider s’il souhaite faire apparaître sur sa notice la liste des ingrédients contenus pour moins de 1%.

    An Afrique du Sud et en Océanie , on peut labelliser bio des produits contenant des ingrédients qui en Europe ou aux USA ne pourraient pas l’être ( généralement cela concerne les matières inertes utilisées comme excipients ).

    Chez nous, la liste se doit d’être exhaustive et lisible en Latin . Y compris pour ce qui est contenu pour moins de 1%. Par contre, pour tout ce qui est contenu pour moins de 1%, le fabriquant n’est pas tenu de les noter dans l’ordre de concentration .
    On peut donc avoir un ingrédient intégré à hauteur de 0,99% mentionné en fin de liste tandis que les 0,01% d’une huile précieuse pourront apparaître en milieu de compo .
    Là aussi, stratégie marketing . Une huile rare , récoltée la nuit en Afrique , par des jeunes filles vierges après qu’un sorcier a consacré le champ séduira plus facilement le consommateur si elle apparait en milieu de compo que loin derrière les conservateurs .
    Ce tour de passe passe reste néanmoins légal .

    On trouve aussi des marques ( c’est de moins en moins fréquent bien que cela arrive encore ) qui jouent avec les appellations .
    Ainsi, il y a quelques années, une célèbre marque anglaise de produit cosmétiques frais, roulés à la main sous les aisselles ( mais ce ne fut pas la seule , la France a fauté aussi, loin de moi l’idée de vouloir réengager une Guerre de 100 ans) a surfé sur la peur des parabens en proposant des produits présentés comme n’en contenant pas . En fait, elles en contenaient . Alors pas toute la farandole des parabens, certes , mais il faut savoir que ces ingrédients sont aussi connus des fabricants ( et moins par le grand public ) sous leurs petits noms .
    paraoxybenzoate de méthyle = méthylparaben
    paraoxybenzoate d’éthyle = ethylparaben
    paraoxybenzoate de propyle = propylparaben
    paraoxybenzoate d’isopropyle = isopropylparaben
    paraoxybenzoate de butyle = butylparaben
    paraoxybenzoate d’isobutyle = isobutylparaben

    De plus en plus de marques utilisent désormais le methylisothiazolinone et le methylchloroisothiazolinone en remplacement des parabens , au potentiel allergisant plus élevé (mais ce n’est pas indiqué sur l’emballage ) .

    Le problème est que nous avons besoin d’utiliser des produits safe et fiables et que sans conservateur ,et à moins d’utiliser un bouchon Avène ou une formule sans eau, les conservateurs, qu’il s’agisse des parabens, des substituts, d’un complexe cuivre- zinc, d’alcool benzylique (accepté par les labels bio ) , une formule estampillée ” sans conservateur ” c’est soit “pas vrai” , soit dangereux .
    Les germes qui peuvent se développer dans nos produits cosmétiques peuvent être bien plus néfastes pour notre santé que l’utilisation de conservateurs .

    Le gros problème, finalement, et à mon sens, ce n’est pas tant les ingrédients utilisés, mais les vagues de psychoses générées par des documentaires donnant plus que de raison dans le catastrophisme que dans l’information .
    S’il est vrai que ma manipulation mentale n’est pas le seul fait des sectes et que tout bon argument commercial en relève aussi largement ( et que certaines marques en abusent ) , une vraie information , exempte de parti pris, permettrait certainement aux marques de jouer plus librement la carte de la transparence .
    Les peurs déraisonnables engendrent une communication tout autant déraisonnable dans le sens où elle se veut exagérément rassurante .

    Gros bisous à tous et bonne journée !

    L’exthéticienne râleuse .

    ↰ Répondre
  • #3 Hélène le 23 avril 2016 à 10 h 53 min

    TatieTara: comme d’habitude, tu as tout bon ;-)

    ↰ Répondre
  • #4 asp le 23 avril 2016 à 11 h 18 min

    TatieTara: Hélène: merci à toutes les deux, pour les infos (et , Hélène, pour le ras le bol). Personnellement, la prochaine fois que j’entends parler d’un produit de beauté “non testé sur les animaux” je fais un malheur. Du marketing qui nous prend pour des idiots, étant donné la législation européenne.
    Merci encore!

    ↰ Répondre
  • #5 TatieTara le 23 avril 2016 à 11 h 19 min

    Hélène:

    Même pour les fautes d’orthographe ?

    ↰ Répondre
  • #6 missdior le 23 avril 2016 à 11 h 23 min

    TatieTara: Merci beaucoup passionnant et très instructif.

    ↰ Répondre
  • #7 Lilas le 23 avril 2016 à 12 h 44 min

    Bonjour,

    Merci pour cet article, c’est vrai que le 0 % est souvent trompeur. On a fait des histoires par possible pour le parabène et on le remplace par un truc qui peut être pire! L’alcool est un ingrédient souvent utilisé dans les produits bio, je trouve ça trop agressif pour mon visage…
    Je ne savais pas que le combo zinc et cuivre était un conservateur possible!
    Et TatieTara quel commentaire, je te remercie j’ai appris énormément de choses

    ↰ Répondre
  • #8 Christina le 23 avril 2016 à 13 h 25 min

    Article et commentaires passionnants. Je suis fatiguée de cette MODE du 0%, du “sans”. Si ça donne bonne conscience aux consommatrices, d’accord, mais qu’elles arrêtent de se croire tellement plus saines plus écolo plus bio. Je pense en particulier à une blogueuse (que je ne dénoncerai pas) qui voue un culte aux cosmétiques “nature”, avec “une belle composition”, mais qui est également totalement monomaniaque de parfums et de bougies parfumées, QUI FUME !! C’est bien la peine de se soucier de ce dont on se tartine le visage et le corps si c’est pour inhaler de la chimie en permanence !

    Les comportements extrémistes m’agacent.

    ↰ Répondre
  • #9 TatieTara le 23 avril 2016 à 14 h 24 min

    asp:
    missdior:

    Tant mieux, si j’ai pu vous aider aussi à y voir un peu plus clair.
    J’ai été esthéticienne pendant plus de 10 ans et cette opacité entre la réalité et le discours a largement contribué à ma décision de quitter un boulot que par ailleurs j’adorais . Il n’y a pas eu que cela bien sûr .

    Donc d’un côté, un discours flou de la part des marques, et de l’autre, des reportages en mal de sensationnel au point d’affoler les foules. Et puis au milieu, les consommateurs largués .
    Qui a commencé, qui a le premier jeté le trouble ? C’est un peu la question de la poule et de l’oeuf .

    Une fois de plus, la vérité est quelque part au milieu du quai . Du côté du bon sens [ cette capacité de bien juger en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par un raisonnement scientifique ( Petit Robert) , et qui, en dépit de la dianoétique (dimension rationnelle) et de l’absence de parti pris que ce jugement implique, s’est vu au fil du temps relégué au rang du méprisable (TatieTara)].

    ↰ Répondre
  • #10 Hélène le 23 avril 2016 à 14 h 46 min

    asp: + 1 ;-)

    TatieTara: ça ne compte pas quand on écrit avec passion ! ;-)

    Christina: je dis toujours que ce qu’on mange ou respire nous tuera bien avant ce qu’on met sur notre peau ;-))

    ↰ Répondre
  • #11 Marie l’amaryllis le 23 avril 2016 à 15 h 06 min

    Merci Hélène et Tatietara ! Ce sujet est très intéressant et vos commentaires instructifs ^^
    Bonne journée !

    ↰ Répondre
  • #12 Flory le 23 avril 2016 à 15 h 23 min

    Merci Hélène, pour ce billet très instructif !

    TatieTara:
    Une fois de plus, la vérité est quelque part au milieu du quai . Du côté du bon sens [ cette capacité de bien juger en présence de problèmes qui ne peuvent être résolus par un raisonnement scientifique ( Petit Robert) , et qui, en dépit de la dianoétique (dimension rationnelle) et de l’absence de parti pris que ce jugement implique, s’est vu au fil du temps relégué au rang du méprisable (TatieTara)]

    C’est trop ça ! Trop marrant ton ajout personnel .Et tristement vrai .

    Christina:
    Je crois voir qui est la blogueuse en question !
    Si c’est bien d’elle dont il s’agit , elle utilise justement une de ces marques dont parle Tatie Tara dites bio en Australie mais qui contiennent des silicones , donc pas bio chez nous .

    La Bi – Oil , elle s’appelle Bio Oil en Afrique du Sud parce que je crois que là bas, c’est possible d’utiliser le mot bio même si le produit contient des huiles minérales .

    Je n’y connais rien donc merci Hélène et Tatie Tara d’éclairer nos lanternes .

    ↰ Répondre
  • #13 sylvie;-) le 23 avril 2016 à 16 h 03 min

    au début de ton billet je me suis dit “elle va nous dire que non, aucun ingrédient n’est dangereux…” (je ne suis pas une intégriste du bio mais comme beaucoup je m’interroge..)et finalement j’adore ton billet car il a pris un tout autre angle!
    et oui même derrière la cosmétique bio il y a du marketing et de la communication; et cette histoire d’alcool utilisé comme conservateur dans les produits bios explique certainement pourquoi souvent mes tentatives se soient soldées par une déception…
    nous sommes adultes donc choisissons nos cosmétiques selon nos goûts/convictions/besoins/moyens mais faisons le en toute connaissance de cause;-)

    ↰ Répondre
  • #14 Caro le 24 avril 2016 à 10 h 13 min

    Bonjour Hélène, bonjour à toutes et tous,
    Et bien non j’ai trouvé ton article très intéressant, je n’ai pas eu envie de fuir en courant !
    Cela me concerne particulièrement car j’ai une peau réactive / mixte + rosacée donc je fais la chasse à certains ingrédients lorsqu’ils sont présents dans de trop fortes concentrations. C’est le cas de l’alcool : je ne dis pas ouh, c’est mal, car les conservateurs, sauf cosmétique stérile, sont indispensables, simplement je sais que ma peau va réagir s’il y en a trop. Du coup je me tourne vers des marques soit bio mais spéciales peaux sensibles (Pai) ou en cas de crise vers la dermo-cosmétique avec Avène parce que dans ces cas là on est à la limite des besoins médicaux….
    J’ai aussi apprécié que tu évites le débat tranché bio / pas bio. Dans les commentaires, on tombe alors souvent dans les clichés sur l’intolérance des intégristes du bio, sur leurs vilaines contradictions… Chez ceux qui veulent vivre plus sainement en réduisant leur impact sur la nature, il y a de tout, comme chez tout le monde. Pointer du doigt ceux qui oui, jouent les moralisateurs (oui, il y en a), c’est oublier que la majorité ne juge personne et a conscience de ses limites mais ce n’est pas, comme toujours, celle que l’on voit ou entend le plus !
    Enfin, j’ai trouvé le commentaire de TatieTara très constructif : en tant que consommateurs/trices on se trouve perdus au milieu de plusieurs discours et je trouve que des personnes comme vous nous aide à mieux nous y retrouver, en toute connaissance de cause.
    Très belle journée à toutes et tous.

    ↰ Répondre
  • #15 Didilette le 24 avril 2016 à 19 h 04 min

    Merci Hélène et merci Tatietara pour ces explications .
    Hélène, ton billet nous dispense du débat bio vs chimique dans lequel on aurait facilement pu tomber et tu nous propose plus un constat qu’un débat . Merci pour ton professionnalisme .

    Tatietara, merci pour les compléments d’information . J’ai eu un produit de la marque anglaise roulé à la main sous les aisselles . Il était garanti sans paraben et en lisant la compo, , j’en ai trouvé un ou deux listés sous un des petits noms que tu donnes .
    Par contre, cette marque a rectifié le tir depuis car je crois qu’en France, elle s’était faite remonter les bretelles pour publicité mensongère .

    Ce que je retiens de ce billet, c’est que je trouve dramatique que les marques en soient réduites à tricher par crainte de la réaction des consommateurs vis à vis des conservateurs , tout ça certainement à cause de reportages ou d’articles catastrophes .
    Appliqué à un autre domaine, vous penseriez quoi d’un tatoueur qui” garantie” à ses clients que ses aiguilles ne sont pas stériles ? Imaginez une seconde que ce soit vrai !!!

    Bonne journée

    ↰ Répondre
  • #16 Sylvain le 24 avril 2016 à 21 h 05 min

    Coucou Hélène !

    Merci beaucoup pour ces infos précieuses et aussi pour ton raisonnement qui permet d’ouvrir l’esprit au gens concernant la formulation des produits cosmétiques, cette industrie (comme dans beaucoup d’autre ceci dit) souffre très souvent des “on-dit” alors merci ! :)

    A très bientôt !

    ↰ Répondre
  • #17 WaaWaa le 25 avril 2016 à 6 h 45 min

    TatieTara: C’est super intéressant, merci de la précision à toutes les deux. J’apprécie cette dédiabolisation des produits de beauté non bio qui ne vont pas nous faire pousser un bras fluorescent en plein milieu du dos.

    ↰ Répondre
  • #18 Silene le 25 avril 2016 à 9 h 30 min

    Ah mais alors j’adore quand tu nous fait des postes sur les ingrédients, je trouve ça passionnant ! Pour ma part je t’encourage vivement à continuer de nous abreuver de tes connaissances cosmétologiques !

    ↰ Répondre
  • #19 celia062 le 25 avril 2016 à 14 h 05 min

    Bonjour à toutes,

    Merci Hélène et TatieTara pour vos explications! J’ai trouvé ce sujet très intéressant et moi qui suis assez vigilante quand à la compo des produits que j’achète (je suis une maniaque des étiquettes , que ce soit des cosmétiques, des produits alimentaires ou ménagers)eh bien j’y regarderai à deux fois désormais!
    Je savais déjà que beaucoup de fabricants introduisaient des parabens, silicones ou conservateurs cachés mais j’ignorais qu’ils pouvaient également tricher sur la concentration pour un dosage inférieur à 1%…
    L’art du marketing!
    Bises à toutes et bonne semaine

    ↰ Répondre
  • #20 TatieTara le 27 avril 2016 à 17 h 09 min

    celia062:

    Les fabricants ne “trichent” pas quant au pourcentage . La liberté de mentionner les produits dans l’ordre de concentration ou pas ne concerne bien que les ingrédients contenus pour moins de 1% et c’est une chose tout à fait légale .

    Par contre, rien sur l’emballage n’indique à partir de quel ingrédient de la formule on passe en dessous de cette limite . Il serait intéressant d’obliger les fabricants indiquer visuellement le franchissement de cette limite par une double barre ou un signal quelconque à défaut de les obliger à indiquer pour chaque ingrédient dans quel proportions il est intégré .

    Cette demande empêcherait le fabricant de fonder son discours commercial sur les vertus d’une “huile précieuse” contenue à hauteur d’une cuillère à café pour une cuve de 200 litres et de vendre à prix d’or un produit n’en contenant que des traces .

    En revanche, une telle demande pourrait engendrer des méprises de la part des consommateurs .
    Certains ingrédients sont très efficaces en faible concentration et pourraient même devenir irritants à haute dose, sauf que le consommateur pourrait penser que son faible pourcentage rendra le produit inefficace.

    Tout n’est pas tout noir ou tout blanc, comme tu le vois .

    Mais les pourcentages d’ingrédients soumis à restriction sont respectés .

    Bisous

    ↰ Répondre
  • #21 Sébastien le 9 mai 2016 à 2 h 48 min

    Bonsoir,

    cette discussion est véritablement passionante et reflète un problème recurrent dans les boutiques de produits de beauté : le discours rassurant et pro des conseillers/conseillères de vente et les attentes/connaissances eronnées d’une partie de la cliente.

    C’est comme les produits indiqués “sans parfum”, qui correspond plutôt à “pas de senteur perceptible” donc la peau ne sera pas parfumée. Mais des fois, il y a des “parfums” de rajoutés afin de neutraliser l’odeur singulière de certains ingrédients (dérivés de la pétrochimie ou certains solvants de mémoire).

    La séparation entre le souhait d’un produit sans parfum pour ne pas parfumer la peau et celui pour éviter toute réaction intolérante est très floue.

    J’avais pris des notes similaires aus produits “sans alcool” mais impossible de les retrouver :/

    Bonnne soirée à tous ^^

    ↰ Répondre
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