Résultats pour la recherche

soirée troc

Soirées troc, c’est reparti !

21 août 2006

trocLes filles je suis sûre que vous avez profité de l’été pour acheter des tas de bêtises dont vous ne savez que faire, maintenant que la bise est venue.

Qu’est-ce que vous diriez de venir les filer aux copines en mangeant du sauciflard (ou des muffins aux myrtilles, chacun sa vie après tout) ?

Esme propose de nous accueillir encore une fois chez elle, même pas peur, et on ferait ça le 1er septembre, histoire de prendre la rentrée du bon pied.

Voici l’adresse spéciale crée par notre chère première ministre pour l’occasion, et sur laquelle vous pouvez aller crier que vous voulez venir sans risque de lui faire spammer sa boite aux lettres à mort sa race : [email protected]

Je vous préviens quand même, l’appart d’Esme ne fait pas 200 m², on va être obligées de limiter un peu le nombre de participantes (traduction en langage impitoyable : les premières manifestées seront les premières invitées ;-)).

Je reprécise que ces soirées portent très mal leur nom, en fait on ne troque ni n’échange rien, on donne ce dont on ne veut plus et qui est en super bon état (maquillage et cosmétiques – ce qui marche le mieux -, fringues, bouquins ou magazines, moins facile). Si on ne veut pas prendre le risque de donner un truc sans rien récupérer en retour, il vaut mieux s’abstenir ;-)

Ah, chacune apporte à manger et à boire, aussi. Du sucré, du salé, du punch coco ou du jus de salsepareille, ce qui vous fait plaisir (sauf du rosé. Celle qui apportera du rosé sera laissée à la porte comme Georges Clooney dans une soirée Martini). Pas de panique, le buffet s’équilibre toujours.

86 commentaires Laisser un commentaire

Soirée Facholand et dons, une idée de l’ambiance

29 avril 2006

trocEt voici donc, pour votre plus grand plaisir chères amies, de quoi vous faire une petite idée de la « soirée Facholand et dons » (nom officiel de ce que l’on continue à appeler officieusement, et à voix basse, « soirée troc »).

Grande soirée, grande ambiance. J’espère que les voisins d’Esme s’absentenet pour le week-end du 1er mai, parce que douze filles qui hurlent de rire en même temps ça doit pas aider à dormir.

Lilou17 a fait trois heures de train (avec deux saucissons de Savoie dans son sac à main, quelle femme remarquable) pour être de la fête.

Prof et Katia ne connaissaient personne et ça ne les a même pas freinées, je suis pas sûre que j’aurais osé, chapeau.

Zabelle a sacrifié quelques kilos de ses chères noix pour ravitailler Lili en garniture à brownie qui déchire sa race, et celle-ci est venue accompagnée de la rafraîchissante Eve et sa nouvelle couleur de cheveux.

J’ai rencontré pour la première fois la pétulante Doodoo, venue avec sa complice Deedee, laquelle portait les mêmes – ravissantes – ballerines que Katia.

Julie a bien failli passer sa soirée chez le traiteur chinois d’en face, le barrage du code demeurant infranchissable. J’ai fini par le lui crier par la fenêtre, comme on fait dans les bonnes maisons.

J’ai été très déçue de voir arriver Ln75 sans sa mythique veste jaune ; nous l’avons sommée de la porter pour la prochaine soirée, très frustrées de ne pouvoir enfin poser les yeux sur le mystérieux vêtement.

Esme a adorablement briqué son home pour nous recevoir, et fait une quiche lorraine à tomber par terre en plus de son désormais célèbre cake-au-fromage-mystère.

Une fois le dernier gâteau englouti (mention spéciale au très novateur croustillant au chocolat de Deedee, qui restera sûrement dans les mémoires), troquons les filles, troquons !

Bientôt une montagne de fringues s’est élevée au centre de la pièce, pendant que Lili tentait de fourguer à l’une ou l’autre un pull ou un foulard. Je dois reconnaître que question vêtements c’était pas extraordinaire, on a dû écluser les jolies pièces il y a deux mois.

Dans un coin, certaines impatientes déballaient déjà leur produits de beauté. Là pour le coup je crois que personne n’a perdu sa soirée ! Aucune d’entre nous n’échappe aux erreurs d’achat et il y avait une sacrée quantité de trucs (et pas des plus moches).

Esme a récupéré au moins quatre autobronzants différents, qu’elle nous a promis de tester tous en divers endroits. J’aimerais bien voir la tête de ses collègues mardi ;-)

Malgré une fièvre sensible dans le cercle joyeux autour des produits, les bases de la courtoisie facholandiennes ont été respectées et personne ne semble avoir été lésé (il n’est cependant pas impossible que les boules de pétanque aient suscité le désir de plusieurs – oui il y avait des boules de pétanque. Toutes neuves. Evidemment c’est Lili qui les avait apportées, qui d’autre aurait pu penser à une chose pareille ? ;-)).

Doodoo a essayé de placer une dernière BD auprès de Ln75 (« pour ta fille ! elle pourra la déchirer ! ») qui avait déjà hérité des tee-shirts trop petits même pour les plus menues d’entre nous.

Après un verre d’eau chaude, on a laissé Esme à la tête d’un bordel épouvantable pour s’enfuir courageusement dans la nuit en abandonnant sur le trottoir le gros sac de vêtements dont personne n’avait voulu.

Cette soirée m’a donné une belle énergie, ce matin j’ai rangé mon armoire de fond en comble et trouvé des tas de trucs que j’aurais pu apporter hier soir ;-)

J’ai raconté ce joyeux moment à l’Homme stupéfait et hilare pendant qu’il s’envoyait avec délice le reste du cake d’Esme au petit déjeuner. Il a aussitôt déclaré vouloir assister à la prochaine soirée pour faire un reportage photo. Mais n’ayez crainte, je saurai protéger notre girlitude ;-)

32 commentaires Laisser un commentaire

Soirée fonds de placards, les coulisses

31 mars 2006

facholandL’autre jour je suis allée me bourrer de trucs délicieux avec Lili au resto. On a beaucoup parlé, évidemment, et elle m’a un peu ouvert les yeux sur les coulisses des soirées appelées troc jusqu’ici, et les conditions de réussite. J’ai pris conscience de ma grande naïveté (ambiance Bisounours garantie avec moi), et me suis rendu compte que j’avais agi un peu à la légère, notamment pour les soirées délocalisées. Lili nous a écrit un topo pour expliquer comment ça marche (bien, plutôt que mal), c’est très important, je vous engage vivement à le lire pour rattraper ma légèreté.

« Le 25 février dernier nous avons fait une soirée dons de tops trop petits/trop grands et de restes de soldes malavisés, cession gratuite de bottes et escarpins, cadeau de parfums neufs, de rouges à lèvre en parfait état et de soutif trop justes, qui fait tellement envie à tout le monde que la France entière, plus Pékin, veut faire la même chose.

Bonne idée.

Léger détail, Hélène n’a pas révélé tout ce qui s’était passé avant pour que cette soirée réussisse.

Vu qu’à mes moments perdus je suis ministre de la Justice ici, je trouve équitable d’informer Facholand en entier.

Vous vous en doutez peut-être mais aucune n’était venue avec l’idée de faire une bonne affaire, personne n’avait apporté ses factures, ni la moindre calculette, ni un chèque ni du cash. Juste avec l’intention de passer un bon moment avec des copines.

Nous étions chez Esme et sa colocataire. Nulle ne lui a piqué son argenterie, n’a gerbé de champagne sur la moquette, n’a tout bu tout mangé sous prétexte que c’était gratos(*), n’a cassé de carreau, n’a fait les sacs à main ni taxé de CD, personne n’a arraché de jupe ou de
jeans des mains des autres en hurlant “Je l’ai vu avant!”.

Ho? Pourquoi?

Ah mais oui, au fait, pourquoi Esme a reçu tout ce monde sans crainte?

Comment ça, attendez, glups : Esme a ouvert sa porte et son appart’ à une dizaine de parfaites inconnues virtuellement rencontrées sur internet?

Mais elle est folle! Eh bien, en fait, il n’y avait pas tant d’inconnues que ça.

On se connait du forum de marmiton.

Oui mais Lili tu débloques, un forum c’est autant virtuel qu’un blog.

En effet, sauf que, et d’une, ça fait des années qu’on s’y dit des bêtises par écran interposé et qu’à la longue, on a repéré le genre qu’on est ; et de deux, on s’est presque toutes déjà vues en vrai.

Allons bon, les cachottières? Comment ça, qui ça?

Moi par exemple, j’avais déjà été au resto avec la plupart d’entre elles, ensemble ou séparément: une ou plusieurs fois avec Esme, avec Hélène, Zabelle, Alice, Marion, LN. Hélène a amené sa meilleure amie et je crois que la seule qui ne connaissait personne en vrai était Kabibi.

Je crois que la réussite de notre soirée repose sur les succès des rencontres marmiton qui ont précédé. La plupart se sont bien déroulées.Mais pas toutes : par deux fois, deux pourrisseuses
d’ambiance différentes ont gâché la vie de plein de filles trop discrètes pour le raconter sur le net, mais qui s’épanchent tout de même.

Dans les deux cas, les casse-pieds étaient relativement novices dans l’univers marmiton. Elles se sont prises pour des stars et ont voulu régenter les autres, prendre la direction des opérations. Elles se sont particulièrement acharnées contre certaines habituées. Bref, des boulets à ne plus fréquenter.

Comment éviter cet écueil dans une soirée Facholand?

Je crois qu’il vaut mieux faire un peu connaissance autour d’un verre en ville ou d’un moment de shopping par exemple, avant de décider de se consacrer mutuellement une soirée ou une aprèm dont on espère beaucoup.

Dans une soirée où tout le monde se découvre, c’est dur de mettre la bonne ambiance.
Si on a un tant soit peu de chose en commun (un café serré et un déca sans sucre ensemble au bar de la gare la veille, par exemple), ça permet de démarrer sur quelques bases souriantes.
Sinon, c’est comme faire une fête avec les voyageurs du train : beaucoup de risques de se faire iech.

Et ça peut être une très bonne idée de faire une réunion Facholand & dons dans un endroit public, un square, une brasserie, on n’est pas absolument obligées d’aller chez quelqu’un.

J’encourage les Facholandienes qui croient que rencontrer les gens du net en vrai, c’est le délicieux monde des bisounours, à tout faire pour que ça le soit: mettez toutes les chances de votre côté.
Filez-vous d’abord des rendez-vous dans des endroits publics neutres pour une courte activité anodine à partager en temps limité. Vous verrez bien s’il y a affinités, atomes crochus ou crochets du droit prêts à partir. Vous verrez surtout que nous sommes toutes libres et égales: nulle n’a envie de tomber sur une cheffe de meute qui croit diriger sa famille ou sa classe de maternelle, pas plus que sur une bavarde sur pilotage automatique. »

lili, ministre de la Justice

(*) « Si, en fait, les potes de la colocataire réunis dans une autre pièce ont un peu vidé le saladier de cosmopolitan sous prétexte qu’il y en avait. Mais on les connaissait pas, donc ils n’entrent pas dans ma démonstration. Ou plutôt si, réflexion faite, ça renforce ma démonstration, donc retournez lire le reste. »

31 commentaires Laisser un commentaire

Je veux des K Jacques !!

29 mars 2006

kjacquesBon finalement je veux pas les spartiates Clergerie, j’avais complètement oublié que je rêve de K Jacques depuis l’aube des temps.

Vous allez brâmer en coeur (à part les filles du sud, qui savent, elles) : c’est quoi des K Jacques ?? C’est la perle de la tropézienne, le gratin de la sandale plate, la rolls du nu-pied en cuir naturel.

Je savais pas qu’on en trouvait à Paris (l’atelier est à saint Tropez, donc, et visiblement assez fermement cramponné à son bled), et pis ça coûte un peu 120 €, cher pour des pompes qu’on porte 15 jours par an.

Mais là j’en ai vu dans une boutique rue du Dragon et ça dit sur le site officiel et tropézien qu’il y a une boutique rue Pavée dans le Marais, un quartier fréquentable et même pas loin de chez moi.

Il m’en faut, ces sandales sont le summum de la boboitude, et en plus elles sont belles et faites à la main.

Toutes les stars des années 50 en ont possédé (les leurs étaient faites sur mesure, j’irai pas jusque là), rien que pour ça j’en veux.

Il ne fait aucun doute qu’elles me feront horriblement mal aux pieds (l’été seules les tongs H&M à 6 € ne me font pas mal aux pieds), mais je m’en fous, j’en veux.

Il me faut les classiques en cuir naturel qui se patinera divinement au fil des ans et que je porterai jusqu’à la fin de mes jours avec une classe folle comme Audrey Hepburn (ou que je donnerai à la prochaine soirée troc parce qu’avec mes pieds de porc je pourrai pas faire deux pas).

Tiens je vais les demander pour mon nanniv, quelle idée merveilleuse, c’est l’Homme qui va être content de m’offrir trois lanières en cuir pour 3000 dollars !

110 commentaires Laisser un commentaire

Soirées troc délocalisées : Oh Toulouse !

28 mars 2006

toulouseBon alors Anne Cé est très partante pour accueillir chez elle des hordes de filles déchaînées et doneuses de vernis à ongles ou plus si affinités.

Elle habite à Toulouse, toutes celles de la région qui n’ont pas peur de prendre le volant pour regagner ensuite leurs pénates sont les bienvenues, avec un cake aux olives dans une main et une robe Prada dans l’autre. Si pas de robe Prada, apportez deux cakes aux olives ;-)

Trêve de bêtises, si vous avez envie de participer à cette soirée troc (que nous avons appelée comme ça parce que ça sonne bien, mais il n’y a aucune obligation d’ECHANGER des choses, le but est de se débarrasser de ce dont on ne veut plus en faisant plaisir à quelqu’un), mettez un petit commentaire ici et n’oubliez pas de remplir votre adresse mail.

Je collecterai les adresses, et enverrai le tout à Anne-Cé pour qu’elle se mette en contact avec vous.

Pour la date vous verrez ça ensemble, là c’est plus mes oignons ;-)

17 commentaires Laisser un commentaire

Soirées troc délocalisées : Metz

23 mars 2006

trocOr donc toutes les lectrices de ce blog ne sont pas parisiennes. C’est affreux mais c’est la vie (je plaisante les girls).

Y’en a des qui trouvent ça pas juste, qu’on fasse les soirées troc dans notre coin parigot sans qu’elles puissent jouer avec nous.
Je suis bien d’accord et propose donc d’instaurer les soirées troc délocaliséess, loin de Paris (enfin loin comme vous voulez hein, c’est vous qui décidez).

On pourrait commencer par l’est parce qu’une lectrice de Metz m’a conté son désarroi par mail, z’en pensez quoi ? En général dans les groupes sympas il y a toujours des gens de cette région, y’a qu’à voir Marmiton, c’est bourré de metzois (non je sais pas comment on dit, je suis irrécupérable).

Y a-t-il des filles que ça intéresse ? Quelqu’un pour accueillir tout le monde chez elle autour de cakes maison apportés par les unes et les autres et d’un grand saladier de Cosmo (la boisson officielle de la soirée troc) ?

Si oui, je vous propose de laisser ici un commentaire, et de remplir la case prévue pour l’adresse mail (qui n’apparaît pas dans le commentaire mais que je peux voir dans l’interface d’administration). Je centraliserai le tout et enverrai les adresses à l’organisatrice pour qu’elle puisse contacter tout le monde.

Les filles, à vos placards / trousses de toilette / armoires à chaussures / vestiaires à sacs / bibliothèques… !

PS : si l’une de vous a envie d’organiser une soirée troc à Rennes ou à Maubeuge, qu’elle mette un petit commentaire pour le signaler, ou qu’elle m’envoie un mail, je ferai un billet pour l’annoncer.

PS 2 : Anne Cé propose de vous accueillir chez elle à Toulouse, s’il y a des filles du sud-ouest qui ont trop de paires de chaussures, elles savent ce qui leur reste à faire ! ;-)

76 commentaires Laisser un commentaire

Six mois sans acheter de chaussures !

15 mars 2006

chaussuresJe viens de réaliser que j’avais passé les six derniers mois sans acheter une seule paire de chaussures. C’est délirant, ça ne m’est jamais arrivé de ma vie (je suis née avec une Carte Bleue Visa dans une main et un verre de vin dans l’autre, la sage-femme était un peu estomaquée).

Je suis sûre que c’est très mauvais signe, il va bientôt falloir m’abattre.

En attendant j’ai acheté celles-ci hier, j’en suis trèèèès contente. Oui voyez-vous il me fallait quelque chose pour remplacer mes bottes chéries quand il fera trop chaud.

J’ai horreur d’avoir chaud aux pieds, ça me rend dingue. D’ailleurs souvent je dors avec juste les pieds qui dépassent de la couette, mais vous vous en foutez et vous avez raison, revenons à nos poneys.

Or donc il va bientôt faire trop chaud pour porter des bottes. Ne ricanez pas, les sudistes, qui vivez en tongs depuis le 15 février, un peu de grandeur d‘âme s’il vous plaît.

J’étais ennuyée à l’idée du redoux (comme quoi tout est possible dès lors que la fashion est en jeu), parce qu’à part des bottes, j’ai des ballerines ou des tongs.

Les ballerines c’est sympa avec un jupon, mais avec un jean pas slim, sur moi c’est épouvantable. On dirait que j’ai le derrière qui traîne par terre, ça m’avantage pas du tout.
Les tongs je vous fais de dessin, on n’y est pas, les girls.

Il me fallait des trucs à talons, pas aiguilles, pas dadame, confort et mode à la fois. Comme des bottes mais en moins chaud quoi.

Et ben j’ai trouvé dites donc ! Et j’ai même pas fait exprès, je suis tombée dessus absolument fortuitement, alors que je traînais le nez au vent rue du Commerce (j’adore cette rue pour le shopping, on n’a pas l’impression d’être à Paris).

Comme vous pouvez le constater par vous-même (j’ai essayé d’effacer la marque avec Photoshop, mais je sais absolument pas me servir de ce truc et ça faisait un gros pâté bleu, j’ai laissé tomber), je les ai trouvées chez Eden Shoes. Ce n’est donc pas la qualité Minelli, mais c’en est presque le prix (75 €). Une affaire en or, comme j’en ai le secret ;-)

Bon entre nous je m’en fous complètement, du moment qu’elles tiennent le printemps (et éventuellement un bout de l’automne), ça m’ira très bien.

Le fait qu’elles soient compensées est une riche idée, c’est aussi confortable que du plat mais sans l’impression du boum-boum qui rase le sol, donc en réalité vachement plus avantageux que le plat. Elles ont la bonne couleur (beige vieilli, si quelqu’un les vois taupe ou gris je ferme mon blog), avec des plis et des clous, tout ce que j’aime.

Evidemment elles me font mal aux pieds, qui a posé cette question bête ? Les chaussures neuves me font TOUJOURS mal aux pieds, mais des fois ça s’arrange.

Et si ça s’arrange pas, vous les aurez à la prochaine soirée troc ;-)

54 commentaires Laisser un commentaire

Soirée troc, le compte rendu

27 février 2006

trocSamedi 25 février avait lieu à Paris la première soirée troc facholandienne.

Esme s’était courageusement portée volontaire pour accueillir chez elle des hordes d’inconnues déchaînées par la perspective de dégotter le sac Balenciaga dont une copine ne voudrait plus, et tout le monde avait promis d’apporter un truc à manger pour qu’on se batte pas l’estomac vide autour du sac en question.

Après avoir retourné mon armoire et essayé douze tenues, hésitant à me la jouer Facholand à mort sa race et tenue girlie-pétasse, j’ai opté pour le confort et la simplicité. Donc jean-bottes-pull-cheveux attachés-lunettes (pour voir les gens, sinon autant rester devant ma télé). Un bon petit look de bonne soeur, mais tant pis, pour être assise par terre pendant quatre heures d’affilée, c’était pas plus mal.

J’avais l’intention de me rendre sur les lieux en taxi, histoire de pas m’embêter avec mes douze bignaches (ça veut dire sacs dans mon patois maternel) dans le métro, mais Marion a gentiment proposé de passer me prendre en voiture.

C’était une idée atroce (comme quoi une bonne action vous retombe toujours sur la gueule), on a passé une heure et demie dans les embouteillages parisiens du samedi soir. Je me plaignais amèrement de crever de faim pendant que Marion s’égosillait « j’en ai marre !!! » par le vitre baissée. Un vrai bon moment girlie ;-)

Sur la voie Geroges Pompidou on a failli se taper le cake morbier-bacon et la vodka qui étaient dans le coffre, tellement on en avait marre.

Mais la soirée méritait ce petit passage difficile. Celles qui n’ont pas pu venir devraient s’inscrire dès maintenant pour la prochaine ;-)

Une fois les appétits calmés (et un saladier de Cosmo vidé), on a mis tout ce qu’on avait apporté au milieu de la pièce, on s’est assises par terre autour et on a commencé à examiner le butin.

J’avais crains qu’on se batte pour une paire de pompes, mais chacune était hyper bien élevée (comment ai-je pu en douter ??) et vérifiait systématiquement qu’elle était la seule sur le coup avant d’embarquer un tube de fond de teint, un sautoir ou un pull.

L’une ou l’autre partait de temps en temps dans la chambre d’Esme essayer un pantalon ou un soutif, poussée par les autres « mais si essaye le, ça va t’aller hyper bien », puis « mais si prend le ! mais non personne d’autre n’en veut ! ».

J’ai notamment récupéré une magnifique paire d’escarpins Sonia Rykiel en daim marron à talons vertigineux, apportés par Valérie_B, et un grand flacon de Cristalle, mon parfum préféré entre tous, auprès d’Alice. Je peux vous dire que j’étais assez ravie !

Beaucoup de choses ont changé de mains, et je suis repartie moins chargée que je ne l’étais en arrivant (pas mal non ?).

J’ai eu l’impression que tout le monde passait un bon moment, quand est-ce qu’on recommence ? Ah oui, va falloir qu’on aille acheter d’autres trucs à donner, d’abord ! ;-)

58 commentaires Laisser un commentaire