Or donc j’ai une passion délirante pour les parkas kaki. En ce moment j’en ai trois, avec la dernière arrivée que j’ai fait retoucher, et la parka orgasmique que j’adore toujours autant depuis bientôt 6 ans.
Ce que j’aime dans celle d’aujourd’hui, c’est qu’elle pèse beaucoup moins lourd et est bien moins volumineuse que les deux autres, du coup je me sens plus mobile et légère ;-) Sa coupe est super réussie, juste longue comme il faut, pas trop loin du corps, elle est vraiment facile à porter.
Le look que j’ai là est typiquement le genre que je porte pour une déjeuner de boulot ou une présentation presse : confort mais un peu joli quand même, pas le plan « je suis venue en pyjama », mais pas non plus celui « j’ai des escarpins et je vais me vautrer dans 30 secondes ».
Le blazer me plaît beaucoup, il est grège et je suis dingue de cette couleur ! (ça y est j’ai attrapé le virus blazer, vous aviez raison ;-) Et puis matière hyper confort (un peu de stretch) et qui passe à la machine, la vie moderne quoi.
Le jean est un de ceux que j’ai acheté il y a quelques mois en deux exemplaires des fois qu’il y ait la guerre, tellement je l’aime (c’est un jean-pyjama), et les baskets, contre toute attente, sont hyper confort (normalement j’ai toujours mal aux pieds dans les chaussures Zara, miracle, pas cette fois).
Parka Lipsy Parker (elle taille normalement)
Blazer Asos (gaffe il taille plus petit que d’habitude, je fais du 44 et là c’est du 46) (et contrairement à ce que dit la fiche produit, il n’est pas doublé)
Pull Zara (acheté il y a 6 mois)
Baskets Zara (achetées il y a quelques semaines)
Sac Diane Von Furstenberg chez Forzieri
Bague ancienne et bague Gemmyo
Vernis Essie Cashmere Bathrobe
Merci Raphaël pour les photos (on a eu VRAIMENT du bol avec ce mini rayon de soleil) !



















Vous êtes habillées comment aujourd'hui (pas du tout on ne triche pas avec lizou, son mail c'est pour un avis de recherche ;-)) ?
Hier il m’est arrivé un truc délirant, pour la première fois depuis au moins 25 ans, et que je ne croyais plus voir survenir de mon vivant (je sais ça sonne bizarre, mais je vois pas comment exprimer ça autrement) : je suis allée à un cours de danse. De mon plein gré. A l‘autre bout de Paris. Sans connaître personne. Avec un vieux pyjama mochtingue comme seule tenue disponible.