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20% chez Sepho online du 15 au 25 octobre

14 octobre 2008

Or donc avec ce code-ci, y’a 20% en ligne : MP8102.

Sinon Hécube a reçu un bon de 20% pour les 16, 17 et 18 octobre dans les boutiques, à filer à une copine.

Si ça tente l’une de vous, qu’elle se manifeste et Hécube lui enverra gentiment ça par la Peussste.

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A kiss – on the hand – maybe – quite continental…

24 avril 2008

… but diamonds are a girl’s best friends !

Tu m’étonnes Marylin, entre un baisemain et des boucles d’oreilles Tiffany, y’a pas photo, je prends les diamants !

Voici donc le cadeau de ma famille et mes amis pour mes 38 ans ; j’aime beaucoup le symbole, porter sur soi un peu de l’affection des gens qu’on aime… comme une sorte de talisman…

Alors je vous ai fait un petit reportage de l’ouverture de la boite, la chose est quand même super solennelle et mérite plus qu’une seule petite photo.

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Je suis TERRIBLEMENT fière de cette dernière photo : essayez de photographier des diamants, pour voir, c’est hyper difficile !

Je crois que je vais plus jamais les enlever de ma vie (à part pour les passer sauvagement au Paic citron, comme préconisé par l’adorable vendeuse Tiffany), j’en suis folle !!!

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Comment le web a anéanti mon futur best seller, par Audinette

18 avril 2007

« J’ai lu un truc dans Cosmo qui a complètement anéanti un super projet de roman… En même temps, en 15 ans, les temps changent…

Vers l’âge de 4 ou 5 ans, j’ai passé quelques heures chez une “dame”, impossible de me rappeler, parce que ma maman avait un soucis de garde. Elle avait une machine à écrire et j’ai passé l’après-midi a aligner des lettres, en faisant bien attention de ne pas prendre toujours les mêmes. Le bruit de la machine, puis ces lettres qui s’alignaient sur la feuille blanche… ma vocation d’écrivain était née !

A 12 ans, il était temps de s’y mettre. Je passais mes week-end, enfermée dans ma chambre, un cahier à spirale dans une main, le stylo plume de l’autre (j’avais même entraîné ma meilleure amie dans l’affaire). L’action de mon roman “A l’ombre d’une guerre” (on ne rigole pas !) se déroulait pendant la deuxième guerre mondiale… C’est là que j’ai réalisé que si j’apprenais autant en lisant (après la lecture des “rois maudits” de Druon, j’étais imbattable sur le XIVème), c’est parce que l’auteur avait fait des recherches… Même si j’avais réussi à planquer mon héroïne en Suisse, il a bien fallu que je développe quelques chapitres avec mon héros. J’en ai fait un pilote mais quand même, ce n’était pas une mince affaire de le faire se trouver dans toutes les grandes batailles du ciel. Lassée par ce travail de recherche hors programme, je crois bien que je ne suis même pas allée jusqu’à leur retrouvailles d’après-guerre… Dommage, ça promettait d’être croustillant !

Tenant un journal intime depuis que je savais écrire, à 14 ans, je maîtrisais assez bien le concept. Alors j’ai écrit une sorte de “Bridget Jones” où l’héroïne, une ado géniale, sans acné, avec plein d’argents de poche et de super copines, avait tout pour plaire. Il fallait quand même qu’il lui arrive des trucs un peu spéciaux (et pas seulement le vol de son sweat blanc bleu par
le zoulou de la classe)… et c’est là que le bât blesse ! Je suis tellement terre à terre que je croyais à peine à toutes les situations rocambolesques et autres rebondissements de l’histoire. J’ai tenu 50 pages je crois… Ah oui, il s’appelait “Hamburguer, frites, etc” parce qu’ils passaient leur temps dans un Mac do (comme d’autres vont au Central Perk, quoi !).

Ensuite, je me suis dit : “ma fille, tu t’y prends mal !”. Alors, pour mon 3è roman, j’ai fait comme pour une dissertation, j’ai construit un super beau plan, bien détaillé, chapitre par chapitre.
Les 5 premiers, c’était en fait la fin du roman de mon héroïne, écrivain. Sauf qu’on ne le sait qu’au début du 6ème chapitre, vous me suivez ? Je trouvais ça super novateur, bon.

Et ensuite, mon héroïne (plutôt malheureuse évidemment), faisait une “rencontre” éclair dans le métro, à peine le temps de croiser le regard du monsieur, et pourtant, un fort sentiment de “c’est lui le zhom de ma vie!”. Cela a l’air plus ou moins réciproque, sauf que ça se passe tellement vite qu’ils n’ont pas le temps d’échanger quoi que ce soit. Imaginez la difficulté pour décrire cet instant d’une demi-seconde, au moment où les portes du métro se referment, ah le pied !
Les 10 chapitres d’après, elle vit sa vie comme elle peut (je vais faire court) avec toujours au fond d’elle, le souvenir de cette rencontre fugace… jusqu’à ce qu’un jour, au détour d’une rue, patatra, elle retombe sur lui.
Et là, vlan, on revient à l’épisode du métro mais vu cette fois-ci côté beau monsieur. Les 10 chapitres d’après c’est donc lui que l’on suit… jusqu’à la deuxième rencontre.

Bon, jevais m’arrêter là : mais en gros c’était ça le concept. Eh ben, dans Cosmo, j’ai découvert l’adresse du site suivant : http://www.paribulle.com/
Il sert justement à se retrouver suite à coup de foudre entre deux portes de métro…

Alors mon histoire, là, elle tombe par terre ! Si y a plus qu’à cliquer pour se retrouver… Va falloir que je revois tout mon plan, pfff… (en même temps, ça fait 15 ans qu’il est bien au chaud dans le cahier à spirales et, avec la vie que je mène, je sens qu’il va hiberner encore un moment…).

Signé : Audinette ».

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Best Of 2006

31 décembre 2006

A l’instar (comme disait le regretté Desproges) des magazines féminins, je me la raconte ma race et vous propose, pof, une sélection de ce qui a marqué, niveau girlitude bloguesque, mon année 2006.


Janvier :
découverte de la tondeuse bikini, des étiquettes qui grattent et de Sayid.

Février :
première soirée Facholand et troc, déception face aux capacités hydratantes de l’huile d’Argan.

Mars :
découverte des K Jacques et de l’anti-cernes Mac.

Avril :
débats sur la contraception, la solitude (choisie ou subie) et le déodorant.

Mai :
grand moment de rigolade autour des sièges de toilettes, premiers masques à la Biafine, rêve érotique raté.

Juin :
coup de foudre pour Zidane et Irshad Manji, débat sur les régimes et découverte de la crème Nok.

Juillet :
abdication devant la canicule et achat de Birkenstock, débat sur le non désir de maternité (ou l’inverse), délire zidanesque.

Août :
bonne rigolade autour de la couleur du PQ
, joyeux partage à propos de Nicole de Buron, lamentations devant la laideur des meubles de bureau.

Septembre :
débat autour des réactions maternelles face à l’homosexualité des filles, réclamation de diamants et découverte des hot pants.

Octobre :
emballement pour le maquillage Armani, grand débat autour de la drague de rue et sortie de La souris dans le potage.

Novembre :
découverte de Malika Oufkir, début des interviews mère-fille-blog, leçons de maquillage et premier papier dans Cosmo.

Décembre :
droit de vote féminin, échange mondial d’agendas, sortie de La chambre d’Albert Camus et localisation des facholandiennes dans le monde.

Ne ricanez pas, ce sont douze mois de la vie d’une femme que vous avez sous les yeux ! ;-)

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