Résultats pour la recherche

benchmark%20contour%20yeux

Ma semaine sur You Tube [40]

23 mai 2013

Une fois de plus la transformation est super impressionnante, on a vraiment Jennifer Lawrence sous les yeux quand le maquillage est terminé, chapeau Promise !!

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=1RM9-pZp8hE[/youtube]

J’aurais pas parié sur le smoky acajou, et ben je trouve ça super réussi :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=x7ESgz2X_sc[/youtube]

Beau boulot Charlie !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=fp7yz98Uir4[/youtube]

Là c’est même plus du +1, c’est du +48.000 tellement je suis d’accord avec TOUT ! Le Benchmark de Marie est excellent, hyper précis et détaillé !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=d6-5o-b5LrI[/youtube]

“It’s a Cat Control cream !” ;-)))))))))))) Cette vidéo est parfaite à tous points de vue :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=RU6p_wFxV1c[/youtube]

Très réussi, ce look (le travail des yeux est très créatif) !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=c2mCgbGWTic[/youtube]

Emma est vraiment bonne maquilleuse (je veux des lentilles comme ça) !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=IG5Rt7Hi00M[/youtube]

Lovely make up !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=QzZ64l19WZI[/youtube]

31 commentaires Laisser un commentaire

Auto bronzer sans zébrer, par Lullaby

18 avril 2010

http://www.youtube.com/watch?v=qKNhT7g89D8&feature=player_embedded

“Je réalise en rédigeant ceci que c’est la troisième année de suite que je viens vous parler d’autobronzant ! Ici (http://www.monblogdefille.com/blog/un-petit-benchmark-des-cremes-avec-une-touche-dautobronzants-par-lullaby77) et ici (http://www.monblogdefille.com/blog/l%E2%80%99autobronzant-par-lullaby) (la qualité de la vidéo étant très discutable, j’ai pas du tout l’air uniforme au niveau faux-bronzage, mais je vous promets qu’en vrai c’était au point).

Et donc, comme pas mal d’entre vous ont peur de mal appliquer le produit, jamais deux sans trois, je m’y recolle. C’était pas évident à filmer par contre, j’espère que ça vous aide un peu quand-même.

Produits utilisés

Xen-Tan Dark Lotion (dark fait référence à la couleur du produit, pas au fait que vous serez noire après). Sur le visage : Xen-Tan Face Tanner.

Règles essentielles :

1/ La peau doit être propre, sèche et exfoliée. Si vous vous êtes épilée juste avant, ça fait office d’exfoliation. Quand je remets du produit le lendemain pour intensifier la couleur, je n’exfolie pas ; par contre au bout de quelques jours, quand la couleur a pâli, je ré-exfolie avant d’appliquer.

2/ Il faut TRES peu de produit – c’est une erreur commune d’en mettre des tonnes, et puis ça ne pénètre pas la peau et ça fait des taches ! Une grosse noix suffit pour une jambe complète!

3/ Faites les articulations (genoux, chevilles, coudes) en dernier avec ce qui reste de produit sur vos mains, ainsi, vous ne risquez pas de surcharger ces zones où la peau est plus dure et fonce plus facilement.

4/ Lavez-vous les mains après application, longtemps, avec du savon en pain et de l’eau chaude, en insistant bien entre les doigts et autour des ongles, sinon bonjour les taches ! Ensuite vous pourrez appliquer du produit sur vos poignets/mains avec un coton sur lequel vous mettez un peu de produit. De cette manière vous serez raccord avec le reste J

5/ Quand vous faites le visage, n’oubliez-pas les oreilles, la mâchoire, le cou et la nuque ! Appliquez comme une crème de jour, en allant jusqu’à la racine des cheveux, et en évitant le contour de l’œil et les sourcils.

6/ Evitez de porter des vêtements clairs après application, et attendez toujours un peu que le produit sèche avant de vous habiller. Cependant la vitesse de séchage varie en fonction du produit, un produit ‘mousse’ par exemple sèche en 2 minutes !

7/ Pour le visage, si vous avez peur de vous louper, vous pouvez mettre votre crème hydratante habituelle puis un peu d’autobronzant par-dessus – l’effet sera très léger. Cependant je vous rassure, les produits visage sont généralement plus légers que ceux pour le corps et il faut plusieurs applications pour que l’effet soit intense, vous courez peu de risque !

8/ Comment s’en débarrasser si ça ne me plaît pas ? En exfoliant, et avec un peu de patience… Si vous n’en avez mis qu’une seule couche, de toute façon, tout disparaît en 3 jours.

Voilà les filles, bonne bronzette, et n’oubliez pas que le faux bronzage ne vous protège de rien et ne remplace pas la protection solaire !

Signé : Lullaby”

68 commentaires Laisser un commentaire

Mes sœurs, le LIMA ! (Lexique International du Maquillage et de ses Abréviations

30 septembre 2008

Sur une brillante idée de ChicChi, voici une ébauche de lexique du make up avec termes et abréviations souvent employés qui font que les « novices » sont total paumées, les pauvrettes.

Si vous voyez des trucs qui manquent, surtout n’hésitez pas à le dire dans les comm’, je compléterai le biniou au fur et à mesure ;-)

Benchmark = banc d’essai. Comme dans « benchmark de fards à paupières » : ça veut dire qu’on en essaye mille et qu’on dit que 978 sont nazes ;-)

Blender = mélanger des fards à paupières pour estomper les démarcations entre eux.

BM = Bare Minerals, première marque américaine de maquillage minéral. Vendue chez Sephora only. Signifie également Bon Marché, grand magasin du 7ème arrondissement parisien.

CAVAO : Club des Accros au Vernis à Ongles (© Catialine).

Crease (et par extension, creaser) = le crease est le pli de la paupière supérieure, creaser se dit d’un fard qui va se loger dans se pli, de façon fort inesthétique.

Dépoter = sortir un fard à paupière de son emballage d’origine de façon à le mettre dans une palette prévue pour plusieurs fards.

EM = Everyday Minerals. Marque américaine de maquillage minéral, vendue uniquement sur internet, et très appréciée de celles qui aiment le maquillage minéral (donc pas moi).

Estomper = « Appliquer c’est poser, estomper c’est étaler », Marion, 29 septembre 2007.

FAP = fard à paupières. Origine de l’abréviation (pas du fard, oeuf corse, soyez pas gourdasse, tout le monde sait que limite les femmes préhistoriques des Alpes se collaient du marmotte cendrée sur le yeux) : France, milieu du XXème siècle.

FDT = font de teint. Tout pareil que le FAP, pour le reste.

Fluffy = littéralement, duveteux. Ainsi Stitch se définit-il lui-même comme fluffy. Se dit d’un pinceau à maquillage souple et fourni, généralement en poils naturels (l’inverse d’une pinceau raide en poils synthétiques).

Glow = signifie littéralement « éclat ». En maquillage, se dit d’un produit qui donne au teint un fini satiné et sexy.

MAC : Marque canadienne de maquillage professionnel, créée en 1985 par j’ignore qui. Avantage sur MUFE : milliards de points de vente, collections éphémères innombrables.

MGNE = Mystère Girlie Non Elucidé.

MMU = Mineral Make Up (donc = maquillage minéral), pour celles qui fréquente la beauty blogo anglophone.

MUA = Make Up Addict = obsédée du maquillage. Comme le FAP pour le reste. Mais = aussi Make Up Artist, non anglais du maquilleur.

MUFE = Make Up Forever. Marque française de maquillage professionnel, créée en 1984 par Dany Sanz, artiste peintre. Avantage sur MAC : réellement plus pro, beaucoup de produits destinés aux effets spéciaux téloche et ciné, et pas mal de produits « astuces ».

MUG = Make Up Geek = gourou du maquillage. Origine : blog de Marlena, makeupqeek.com

MUP = Make Up Party. Origine : MBDF (mon blog de fille), France, 29 septembre 2007. On dit aussi MUPMBDF.

Oeuf corse = of course .

 

RAL = rouge à lèvres. Comme le FAP pour le reste.

Smudger = flouter. S’utilise pour du liner ou du crayon, que l’on smudge pour l’adoucir.

SMH = Stars Make Up Haven. Site américain de vente en ligne de maquillage, particulièrement recommandable pour ses fards à paupières et palettes vides dans lesquelles entrent les fards MAC, Urban Decay et certains Lancôme.

SP = sous préfète. Pour les explications, voir ici. A ne pas confondre avec BCBG ou bonne soeurique.

Swatch = application de fard (à paupières, mais fonctionne aussi avec le RAL, ah ah ;-) sur la main, pour voir la couleur. Origine : la blogo make up américaine, je suppose. Se conjugue : on dit « swatcher » un fard. En revanche je n’ai encore jamais vu swatcher du VAO, il faut dire que ça doit pas être super bon pour la peau.

VAO = vernis à ongles. Comme le FAP pour le reste.

Wash = c’est quand on pose une seule couleur de fard (généralement clair) sur toute la paupière, des cils aux sourcils (souvent pour servir de base au reste du maquillage des yeux).

98 commentaires Laisser un commentaire

Un petit benchmark des crèmes avec une touche d’autobronzants, par Lullaby77

29 avril 2008

carottes.jpgAlors moi l’autobronzant je suis contre, j’ai essayé à peu près tous ceux de la planète et le résultat est TOUJOURS orange. Sa race.
Et je n’ai jamais essayé les « demi-autobronzants », ces crèmes hydratantes qui en contiennent un peu, mais moins.
Heureusement, Lullaby77 l’a fait pour nous, voici le résultat de son étude, pof, c’est de saison :

« Je suis une handicapée du bronzage. C’est le drame de ma vie. Toute ma famille a la peau mate, mais moi c’est vampire (gris) l’hiver et aspirine (blanc) l’été. En plus je suis carrément allergique au soleil, alors pas question d’aller faire du banc non plus. Voyons le bon côté des choses, je ne souffre nullement de vieillissement prématuré de la peau, j’ai même atteint la trentaine sans une ride. N’empêche, mon fantasme est d’être l’une de ces créatures couleur caramel qu’on voit dans les pubs télé.
Ce qui fait que depuis l’âge de 15 ans, j’ai essayé à peu près tout ce qui existe sur le marché des autobronzants. En crème, en gel, en spray, teinté, pas teinté, en lingette. Pour toujours finir par faire la même constatation: ça pue, ça tache les fringues et ça finit invariablement par vous transformer en zèbre orangé même si vous faites 14 gommages avant comme le préconisent les fabricants de cosmétiques.

Je m’apprêtais donc à renoncer pour toujours à mon fantasme quand, ô miracle, sont apparus sur le marché une nouvelle génération de produits: les crèmes hydratantes contenant un peu d’autobronzant. C’était il y a trois ans. Super, je me suis dit, ça me changera pas en beauté métisse mais ça pourrait faire passer ma peau à une nuance de blanc un peu plus acceptable (genre tasse de lait avec quelques gouttes de café, quoi). Depuis je les ai toutes essayées, ces fameuses crèmes, alors je vous fais profiter de mes expériences dans ce petit benchmark.

En pharmacie :

ROC Hydra+ Summer Skin : ils sont arrivés les premiers sur ce marché, avec un produit corps et un produit visage en 2 nuances selon la carnation. Au niveau parfum, c’est vraiment bof (Roc est pas réputé pour ses parfums). Inconvénient principal selon moi : il y a de l’alcool dans la formule visage. Donc ça dessèche. Donc, en ce qui me concerne : exit.

NEUTROGENA Eclat hâlé : je vais vous faire une révélation, les filles : Neutrogéna et Roc, c’est le même labo. Sauf que Neutrogéna coûte la moitié du prix. Vous voyez où je veux en venir? Et pour celles d’entre nous qui ont la peau sèche, la formule a fait ses preuves. Ici aussi, deux nuances, par contre pas de produit spécifique visage.

En grande surface :

L’OREAL Nutribronze : je vaux bien mieux que ça, si je puis dire. Le produit ne pénètre pas vite, ça met un temps fou à sécher! Et le parfum, un peu fort mais agréable au début, vire assez rapidement. Je n’en avais qu’un mini-tube échantillon pour quelques jours, ça ne m’a pas donné envie de l’acheter.

EVIAN Holiday Skin : je vais être honnête avec vous, je ne l’ai pas essayé parce qu’on ne le trouve pas chez moi. Dommage parce que j’aime bien la marque. Alors j’ai fait le tour de tous les forums de tests pour récolter des avis, et ce que je lis est assez unanime : la texture proche du gel est agréable mais la couleur obtenue est trop jaune ou trop orange.

DOVE éclat d’été : c’est terrible mais j’accroche pas avec Dove. Même quand ils font des pubs qui me parlent et que je me jette sur leurs produits, incapable de résister, je finis toujours par être déçue. Cette fois-ci n’a pas fait exception. C’est le premier produit que j’ai trouvé en grande surface, l’odeur est agréable mais la texture est tellement collante que vous avez intérêt à vous lever une demi-heure plus tôt pour avoir le temps de sécher avant de vous habiller ! Résultat, le flacon est resté dans l’armoire. Dommage parce que niveau résultat, je n’avais rien de négatif à dire après une application.

GARNIER Visage Summer/Body Summer : Argh, c’est pas la panacée non plus. Le produit corps marche bien mais l’odeur est écoeurante (peut-être que ça vient de moi, j’aime bien le concept des produits Garnier mais j’ai souvent du mal avec leurs parfums). Quand au produit visage : SOS boutons !!! Bye bye Garnier.

NIVEA Summer Beauty : alors lui c’est mon maître-achat ! Moins de 5€, un parfum léger, une texture qui sèche hyper vite : je l’aime! Et grande nouvelle, pour le visage, il y a maintenant en plus de la formule classique une version autobronzante de l’anti-ride Q10. Et ça, je trouve que ça résout un sacré problème parce que pendant qu’on fake-bronze, on était jusqu’ici contraint de négliger l’anti-rides, ce qui est évidemment très mal. Un produit 2 en 1, le peuple ne demande rien d’autre. Si ?

Oui mais est-ce que ça marche vraiment, tout ça?
Je vais pas vous mentir, c’est comme pour l’autobronzant, il y a des contraintes. Si vous ne faites pas un gommage avant, vous finirez par vous retrouver avec tes taches sur les coudes ou les genoux.
A la première application, ce n’est pas toujours uniforme non plus.
Mais comme le hâle est vraiment progressif (comptez bien 4 applications avant que ça ressemble à un bronzage) c’est moins grave qu’avec un véritable autobronzant, ça s’estompe bien après l’application suivante.
Personnellement j’aime surtout les formules visage, qui sont très très progressives. Aucun risque de se retrouver avec des sourcils orange !
Mais que ce soit pour le visage ou pour le corps, je vous conseille, après la 3ème application, d’alterner avec vos produits habituels. Sinon vous risquez toujours de virer à l’orange, comme avec un autobronzant classique.

Donc j’arrive enfin à avoir meilleure mine en été! Maintenant il me reste un dernier problème : comment se crémer le dos bien partout et uniformément avec ce genre de produits…

Signé : Lullaby77 »

175 commentaires Laisser un commentaire

Rouge passion ou rouge tromblon ?

15 janvier 2008

Les enfants j’ai décidé de vous faire un benchmark de rouge à lèvres.
Sur deux rouges à lèvres.
Quoi c’est pas beaucoup pour un benchmark ? Attendez, c’est des vrais rouges vifs, j’en porte jamais !

Or donc l’autre jour, asticotée par le souvenir du rouge putesque de Fran (c’est elle qui l’appelle comme ça, pas moi), je suis prise d’une envie irrépressible de rouge à lèvres rouge vif. Le rouge de Fran vient de chez MAC, je me pose zéro question et je vais chez MAC (j’aurais pu être soldat tant j’ai parfois des réflexes étonnants de discipline).
Dieu merci ils n’ont que trois modèles de rouge vif, un satiné, un mat, et un de la nouvelle collection mate mais pas trop qui n’est pas sortie et que par conséquent je veux acheter tout de suite. Et qui s’appelle comme il se doit
Russian Red (le rouge, pas la collec’).
Je le prends sans l’essayer sur ma bouche, évidemment (alors que chez MAC on peut, c’est innocuite), faites ce que je dis, pas ce que je fais.

Arrivée chez moi je constate que le tube ressemble à un suppositoire (de mon temps les tubes de rouge était carrés non ?), et découvre d’un seul coup la grâce du geste qui me transporte dans les années 50 : les films noirs, la chevelure crantée de Bacall, le sourire de Marylin, les pin up et les vieux rocks…
Je déconne pas, se mettre du vrai rouge sur les lèvres est une expérience incroyable, le geste est dément.
Alors évidemment ça rétrécit un peu la bouche, et ça ne rajeunit pas (c’est pour ça que je n’en porte pas d’habitude), mais la couleur est profonde et magnifique, rouge fatal, rouge passion.

Je passe quatre heures avec ce machin sur la bouche SANS REMETTRE DE BAUME A LEVRES (invraisemblable non ??), et ça ne part pas. Même je bois à la bouteille comme je fais toujours (de l’eau, calmez-vous, le Puligny Montrachet ne se boit pas à la bouteille ;-), je parle à mon PC, je vais dehors acheter des enveloppes, et ben ça part toujours pas.
Après quoi j’entreprends de manger du saucisson et de boire du pinard, ça s’estompe légèrement au centre mais rien d’important, et toujours pas de filage sur les bords.
Je commence à comprendre pourquoi on parle de démaquillant pour les lèvres et j’hallucine sévère.

Je décide que le rouge c’est hyper cool, et je file chez Monop en acheter un autre. Plus clair, moins rose, tirant plus sur le rouge vif que le framboise.
Celui qui correspond à la couleur que j’ai en tête se trouve être un Rouge Baiser, et je ne résiste pas à l’envie d’essayer pour la première fois de ma vie cette marque tout de même mythique.
13 € contre 17 € chez MAC, moi je dis c’est cher pour de la grande distrib, mais un benchmark est un benchmark et la maison ne recule devant aucun sacrifice.
Le tube ressemble aussi à un suppo, ça doit être la mode de nos jours, ma pauvre Lucette.
Le raisin n’a pas du tout la même couleur, je m’en pourlèche les babines à l’idée de l’essayer.

Et là, bingo !! C’est EXACTEMENT la couleur qu’il me fallait et qui me va ! Pour
le coup ça ne vieillit ni ne durcit le visage, c’est gai et ça donne bonne
mine. Et j’adore cette couleur si vive ! Rouge tromblon, donc ;-)
Il tient presque aussi bien que le MAC mais file un peu plus sur les bords, il faudra que je le porte avec un coup de crayon avant (mais non, pas du marron de
présentatrice télé syrienne, du beige chair invisible, c’est juste pour empêcher de filer, pas pour dessiner le contour ;-)).
Voire même un crayon invisible que j’y crois pas mais si on me jure que ça marche je vais en acheter un.

 

Me voilà convertie au rouge, j’ai l’impression d’être Sharon Stone. Sa race, quel pied.

PS : évidemment avec ça juste un teint parfait (avec blush sinon les vampires sont parmi nous) et du mascara. Mais ne songez même pas à poser les yeux sur votre rouge tant que cette base n’est pas au point ;-)

PS 2 : je sais, sur les photos de ma bouche on voit pas de différence. Mais en vrai il y en a autant que sur les photos des deux rouges à lèvres côte à côte, me prenez pas le chou je me suis appliquée autant que j’ai pu. Mais quand ça veut pas, ça veut pas.

Edit de 11h16 (ahhhh, mais je vais être hyper à la bourre pour mon déjeuner à l’autre bout du monde, je suis même pas maquillée !!) : puisque que personne ne comprend, sur la photo tout en haut, à gauche c’est le MAC et à droite le Rouge Baiser ;-)

187 commentaires Laisser un commentaire

Benchmark pinceaux à make up

12 juillet 2007

Enfin bon, petit benchmark, parce que j’ai pas essayé tout ce qui existe sur le marché, non plus. Mais le sujet me passionne, d’abord parce que les pinceaux c’est joli, et puis parce que des bons outils sont super importants pour arriver à un beau maquillage, donc n’est-ce pas bien sûr, nous allons parler de ça pendant trois plombes, pof.
La chose la plus importante, à mon avis, est que la qualité varie beaucoup d’une marque à l’autre, et n’est même pas liée au prix (ni au traitement, je les entretiens tous soigneusement de la même façon, lavage à l’eau tiède savonneuse une fois par semaine, séchage à plat).
Voici donc de gauche à droite :

Sephora (1, 2, 3, 4, 5) :

Les non professionnels en synthétique (3, 4, 5) sont à la hauteur de ce qu’on imagine, à savoir vraiment le minimum vital si on n’a rien d’autre sous la main, la sensation est limite désagréable et le résultat pas satisfaisant. Sauf pour le pinceau à blush qui est parfait pour moi (5). Ils coûtent entre 8 et 20 € selon les tailles, ce qui me fait dire (une fois de plus) que si payer le prix fort n’est pas une garantie de qualité, en revanche quand c’est pas cher il y a
toujours une raison.
Les professionnels à manche argenté, en poils naturels (1 et 2), sont nettement plus agréables, le résultat est plus précis, et ils coûtent au moins le double, ce qui tient debout. En revanche je ne sais pas comment ils vieillissent, je
les ai depuis très peu de temps.

Shu Umeura (6, 7, 8)

Je n’ai eu pendant longtemps que ces pinceaux, persuadée que c’était les meilleurs de la terre. En fait bof, mon pinceau à poudre (6) qui est dans le bandeau de mon blog, a drôlement changé depuis que j’ai fait la photo du bandeau : vous avez vu tous les poils qu’il a perdu ?? Pourtant je l’avais payé hyper cher, au moins 60 €…
Et leurs pinceaux à paupières ne sont finalement pas aussi merveilleux que promis, ceux que j’ai sont en synthétique à 30 € parce que ceux en poils de martre coûtent 72 € (72 € pour ce truc minuscule !!! j’ai cru tomber dans les pommes à la caisse et j’ai dit posément que j’allais prendre du synthétique, plutôt), et ils ne tiennent pas tellement bien le coup dans le temps.

Armani (9)

Pas tellement plus cher que les autres (35 €), en poils naturels (castor tibétain et raton laveur des steppes, ou dieu sait quoi de ce genre) : je n’ai pour le moment que ce gros pinceau à paupières, mais je ne regrette pas d’avoir craqué, il est parfait, hyper agréable, et me sert absolument à tout. Limite je pourrais me passer de tous les autres (limite hein, parce que bon, quand même).

Bobbi Brown (10)

Pas mal mais pas de quoi se relever la nuit non plus. En revanche le rapport qualité prix est meilleur que celui de Shu Uemura, genre 25 € pour des poils naturels.

Bare Minerals (11, 12)

Ce sont ceux vendus avec les fonds de teint minéraux en poudre. Ils sont de très bonne qualité, et coûtent autour de 25 € pièce. Le pinceau à anti-cernes, notamment (12) a changé ma façon de vivre ce fard : avant je l’appliquais au doigt, persuadée que l’application au pinceau c’était des salades, en fait ça change tout : on travaille la couleur sans plus avoir d’épaisseur, et le résultat est dix fois plus naturel.

Verdict : achetez des trucs de qualité, quitte à en avoir moins, et tapez plutôt dans les poils naturels que le synthétique, ça fait une vraie différence.
Sur ces bonnes paroles, petit scarabée, je vais continuer mes études, et je reviendrai vous raconter quand j’en aurai testé plein d’autres ;-)

162 commentaires Laisser un commentaire

La saga du baume à lèvres, part 14.227 (ou : le frère* aîné de dieu)

24 mai 2007

Ah ah ! Avouez que vous ne m’en pensiez pas capable ! Et bien si ! Téméraire et intrépide (et addict et folle, mais je m’en fous car je dis zut aux psychiatres), j’ai malgré ma rencontre décisive avec Monsieur Guerlain, poursuivi ma recherche insatiable du baume à lèvres absolu.
Je dois dire que vous m’aidez beaucoup dans cette quête sacrée, grâce à vos conseils je vais deux fois plus vite en besogne.
Le dernier conseil miraculeux revient à Des Prismes de la Subculture (oui elle s’appelle comme ça, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, au moins je la reconnais au milieu des 47 Vanessa / Valérie / Nathalie ;-)), grâce à qui j’ai découvert ce joyau du baume réparateur, cette perle du petit tube salvateur, ce chef d’oeuvre du confort labbial… sa race quoi : le Baume lèvres Réparateur multi-hydratant de Clarins.
Voui le tube est super moche. De toutes façons les packagings Clarins sont hideux, c’est pas nouveau (comme quoi la beauté intérieure c’est bien ce que je disais, c’est pas des blagues).
Le baume est à peine teinté d’orange, avec le goût et l’odeur qui vont avec mais super légers et qui restent pas, il brille un peu ; son action est aussi parfaite pour moi que celle du Nuxe version pot qui brille pas, ou du Suberbalm Clinique version tube qui brille (sauf que le Clinique coûte deux fois plus cher, becôz 15 € les 7 ml chez Clinique contre 14 € les 15 ml chez Clarins – le Nuxe restant le moins cher en tournant autour de 9 € les 15 gr, oui là c’est des grammes).
Comment ça c’est chiant les infos pratiques ? Ah écoutez, si je fais un benchmark je le fais bien, après vous allez toutes venir demande combien ça coûte et ce genre de trucs, je préfère l’indiquer tout de suite ;-)
Je n’en mets qu’un tout petit peu genre une fois par heure maxi, et ça suffit. L’hallu totale.
Pourquoi il est mieux que le Guerlain ? Aheum, comment dire, je suis un peu embarrassée de l’avouer maintenant que la moitié d’entre vous se sont ruinées pour le Guerlain, mais celui-ci pue, réflexion faite. Et il a un sale goût. Oui j’aurais dû m’en rendre compte avant, mais j’ai été un peu trop vite emballée par la texture (et la marque, sois honnête ma fille), je me repens vachement.
Merci mille fois Des Prismes, cette découverte est pour moi à la hauteur de celle de la crème Nok, grâce en soit éternellement rendue à Fanchette la merveilleuse et la lointaine.

Tiens on devrait faire des médailles du mérite « mon blog de fille » (en saucisson ? parce qu’en diamants je vais pas avoir les moyens dans l’immédiat), pour ce genre de découverte majeure ;-)

*Pourquoi le frère et pas la soeur ? Parce qu’on dit UN baume pour les lèvres ;-)

181 commentaires Laisser un commentaire

Benchmark bronzé

28 avril 2006

consoHi hi je suis fière comme un pou c’est la première fois que j’utilise le mot benchmark, je trouve ça méga pro ! ;-)

Pour la première fois de ma vie je viens d’acheter 60 millions de consommateurs. Je l’ai pas pris pour les conseils juridiques en cas de construction de pavillon en banlieue, notez (et ça ne vous étonnera pas), mais parce qu’ils font un benchmark des autobronzants. Je pouvais pas rater ça.

Pourtant l’autobronzant j’ai HORREUR de ça : ça pue, ça colle, ça fait orange, ça jaunit les ongles (oui même en lavant bien). J’en ai essayé des dizaines, je suis toujours déçue. J’en mets quasiment plus jamais, je préfère encore être blanche que jaune (en plus l’odeur est vachement persistante, le lendemain ça sent encore).

Et encore je ne vous parle que du corps, sur le visage j’ai renoncé depuis encore plus longtemps, ça fait juste ressortir les imperfections en marronnasse. Génial. Encore une grande invention.

Mais à la lecture de ce canard plein d’infos intéressantes, je me dis que je vais peut-être retenter le coup : d’après leurs tests (manifestement très rigoureux) le plus réussi est le Sublime Bronze de l’Oréal en flacon-pompe (8 € et des bananes), largement devant les Dior et autre Lancôme.

En plus il fait visage et corps, je trouve ça assez généreux quand on voit le nombre de marques qui profitent de la manne pour vendre deux produits au lieu d’un.

Voilou les girls vous savez tout, et vous aurez même pas besoin d’acheter le journal (qui coûte quand même 4,20 €, soit un demi flacon de Sublime Bronze ;-)

Edit : aujourd’hui 30 avril j’ai testé le Sublime Bronze, que j’ai payé 11,90 € et non 8 comme promis, mon Monop est ruineux. Odeur agréable, ne colle pas, couleur a priori OK sur les bras et le décolleté (mais une seule application donc à confirmer après plusieurs). En revanche j’ai les mains couvertes de traces oranges absolument démentielles, jamais je n’ai vu un truc pareil. Application à perfectionner, donc (pourtant je suis la reine du gant de toilette humide, il y a un truc qui m’échappe).

Edit again : nous sommes le 1er mai et je suis orange des épaules au bout des doigts (deux applications). Saloperie de crème. Christèle avait raison, plus jamais d’autobronzant. J’ai été eue une fois de plus, alléchée par le sérieux du magazine. Il faut croire que pour leurs testeurs bronzé = orange, j’ai plus qu’à essayer le Roc d’Anaik, ou à racheter directement le Tekoa de Liérac qui pue, colle, et coûte la peau, mais dont je trouve le résultat naturel.

La vie est une jungle.

52 commentaires Laisser un commentaire