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crème nok

La gentillesse qui déchire sa race

23 septembre 2006

gentillesseC’est dans l’adversité qu’on reconnaît ses vrais amis, gna gna gna, jusqu’ici je trouvais ça un peu 19ème siècle comme concept.

Et puis pendant ces quelques jours où mon blog a été cassé, j’ai reçu des témoignages d’altruisme et de gentillesse absolument hallucinants, de gens que je n’ai pour la plupart jamais vus de ma vie, bloggeurs ou pas, et sans que j’ai rien demandé :

Sandrine m’a donné les codes d’accès à la gestion de son blog, carrément, pour que j’aille publier des trucs chez elle comme si c’était chez moi. Jamais je donnerais les codes d’accès à mon blog à personne, même sous la torture, son geste ma soufflée.

Géraldine m’a créé un blog de secours sur son espace internet perso, alors qu’elle était en voyage de boulot, et s’est tenue à ma disposition pour mettre tout ça en route (même pas vexée que je décline, psychorigide que je suis à vouloir absolument retrouver mon nid à moi et incapable de changer).

Dorian, Gloria et Maurine m’ont proposé de publier mes billets le temps que je voudrais dans leurs colonnes pourtant plus axées sur la crème fouettée ou les playmobils ( ;-))que sur la crème dépilatoire.

Anne Cé, Anne papilles, Deedee, Pomme, Caroline, Annika pannika, Dorian à nouveau, Laurenn, et gé toujours, ont informé leurs lecteurs que je n’étais pas partie vivre en banlieue sans internet ou kidnappée par des trolls (pourquoi votre nom est pas en premier ? parce que c’est par ordre chronologique d’apparition on the ouèbe ;-)).

A tout cela, déjà incroyable, s’ajoutent les mails reçus par dizaines pendant une semaine, de lectrices toutes plus adorables les unes que les autres, m’assurant que mes billets leur manquaient ou qu’elles se portait volontaire pour aller manifester sous les fenêtres de mon hébergeur en brandissant des tubes de crème Nok.

Je crois avoir reçu plus d’estime, d’affection et de soutien en une semaine qu’au cours des dix dernières années, et je voulais vous remercier tous, encore, jamais assez.

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La revanche du cuissot sanglant

19 juin 2006

nokSympa mon titre hein ? Et girlie avec ça ;-) Si j’étais graphiste j’aurais fait des lettres noires et tremblées qui coulent, comme dans les films d’horreur des années 60 ;-) Enfin vous reconnaîtrez que la photo est soft, pour compenser ;-)

Oui bon, revenons à nos poneys. Pff, on peut plus rigoler.

Je suis bien ennuyée parce que j’ai eu beau fouiller dans les commentaires, comme il y en a un paquet je ne retrouve plus qui d’entre vous a donné l’info sur la crème Nok d’Akiléine, ni qui a suggéré de l’utiliser aussi en prévention anti-ampoules.

Parce que cette crème a changé ma vie, je n’ai pas peur des mots.

Voici l’affaire : j’ai le haut des cuisses qui frottent quand je marche (ça commence bien non ? ;-)). Si je porte un pantalon ça ne pose pas de problème majeur (à part qu’il s’use en trois mois, mais ce n’est pas ce qui nous occupe aujourd’hui). Si je suis en jupe en revanche c’est l’horreur : la peau est très fine à cet endroit, et pour peu que je transpire (oui je transpire des cuisses, j’arrive même à transpirer de l’avant des genoux, je suis hyper bonne en transpiration), l’irritation ne se fait pas attendre. Ca fait mal, et rapidement je n’ai plus qu’une idée, mettre un pantalon. Sauf qu’il fait trop chaud donc c’est pas possible (si vous avez suivi, l’été je vis en jupe avec mes cuissots à moi que j’ai).

En visite à Rome à l’automne dernier, comme il faisait torride et qu’on marchait beaucoup j’ai même fini par saigner. Je vous jure. Ma peau était écorchée à force de frictions, c’est dingue non ? Après avoir essayé de limiter les dégâts en empruntant un caleçon à l’Homme (ça marche pas du tout, il remonte – le caleçon, pas l’Homme – dès que je fais trois pas et le problème reste entier), j’ai fini le week-end en jean par 30 degrés, incapable de continuer avec les cuisses en contact tellement j’avais mal.

Et bien les filles, je suis un peu folle de joie de pouvoir vous annoncer que cette époque est révolue !

La crème Nok est un truc de sportifs (ça vous rattrape toujours, finalement), pour éviter les irritations dues aux frottements. Je sais pas comment ça marche, mais ça graisse pas, ça colle pas, c’est insoupçonnable, et je n’ai plus jamais mal aux cuisses. L’hallu.

Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, je m’en suis donc mis sur les pieds après quoi je suis allée gambader dehors pendant des heures.

Rien.

Pas une rougeur, pas l’ombre de la queue d’une ampoule. J’ai essayé avec quatre paires de chaussures pour être sûre avant de vous en parler (dont mes K Jacques qui me faisaient de magnifiques cloques en longueur), ça marche hyper bien.

Je n’arrive pas à y croire, c’est un miracle. Ca fait au moins vingt ans que je souffre le martyre dans TOUTES les chaussures chaque été, soignant ampoule après ampoule trois mois d’affilée, donnant toutes mes paires de pompes les unes après les autres parce qu’aucune n’épargne la peau de mes pieds trop sensibles, et cette crème semble bien être la fin des mes supplices, à tout bout de jambe.

Je vais mettre un cierge devant ma pharmacie tiens, ça vaut bien ça.

Quant à celle(s) qui a (ont) mentionné ce produit salvateur, elle(s) a (ont) ma gratitude éternelle.

PS : ça coûte genre 6 €, on a même le droit de cesser de souffrir sans se ruiner.

Update : nous devons cette découverte à Fanchette, devant laquelle je propose que nous nous prosternions toutes ensemble en signe de reconnaissance !

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Bienfaisante décontraction

12 juin 2006

vacancesArrrrh ! Je viens de passer quatre jours sans un gramme de maquillage, les cheveux hérissés sur la tête et habillée à la va-vite. Ca fait un bien fou et ça me change de Paris où j’essaye d’être présentable tout le temps.

Quand je vais chez mes beaux-parents, dans le Luberon donc (fastoche la photo !), je m’autorise une pause beauté. Pas que je me lave plus et que je garde mes poils hein, mais je m’en fous d’être moche et pas habillée dernier cri. Mes beaux-parents sont assez âgés et se moquent éperdument de l’apparence physique, et, comble de l’anti-facholandie, il n’y a pas un seul miroir en pied dans toute la maison.

Comme il n’y a pas moyen de voir à quoi on ressemble en entier, on finit par s’en foutre un peu et enfiler ce qui est confortable et adapté à la température. Donc une petite jupe qui découvre parfois le gras de mes genoux (mais tant pis), un débardeur qui laisse libres mes bras dodus (mais c’est pas grave), des tongs à 3 € (mais ça fait moins mal que des K Jacques), et roule.

Jamais, au grand jamais, j’irais me balader comme ça Boulevard saint Germain, c’est pourquoi cette liberté me fait tant de bien quelques jours par an.

Avant j’emportais du maquillage, et pis j’en ai eu marre d’encombrer ma trousse de toilette avec des trucs qui servaient jamais, j’ai laissé tomber. Les premiers jours je trimballe une tête de cadavre parisien, ça s’améliore un peu sur la fin.

Même quand je vais dîner au resto je reste hyper nature, finalement ça ne change pas grand chose à la qualité de la soirée et on n’a jusqu’ici jamais refusé de me servir au prétexte que vraiment j’étais trop vilaine et has been ;-)

Chez certains en revanche on n’est plus dans la décontraction mais dans le laisser-aller : quand je me balade dans les villages du coin, un peu envahis quand même, je suis frappée par le look des touristes : short boudinant, débardeur en polyester boudinant aussi, tout ça sur mules à talons ou grosses baskets, sacs à dos et casquettes… je voudrais qu’on m’explique pourquoi les gens s’habillent si mal, ça me déprime.

Et ne venez pas m’opposer l’argument du confort, dans ma petite jupe en lin je suis largement aussi à l’aise que dans un short (surtout depuis que j’ai découvert grâce à vous la crème Nok d’Akiléine et que je n’ai plus d’irritations cuissotesques).

Un goût pervers pour le laid peut-être ? Ca doit pouvoir arriver, chez des populations qui n’ont pas la chance d’avoir notre glorieux passé culturel ? ;-))

A ce jour je m’interroge encore. Si vous avez des pistes je suis preneuse, et dites-moi donc au passage si vous aussi vous avez des « refuges de non-beauté obligatoire », les filles ;-)

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