Partenariat rémunéré avec Eau Thermale Avène
On sait depuis un bon moment que la lumière bleue est mauvaise pour les yeux, mais jusqu’ici je n’avais pas connaissance d’études prouvant sa nocivité sur la peau, c’est pour ça que je n’y attachais pas réellement d’importance.
J’ai découvert la semaine dernière grâce à Avène qu’il y a, depuis environ 5 ans, de plus en plus d’études* sur le sujet ; et celles-ci prouvent que cette lumière bleue peut représenter 25% des dommages cellulaires oxydatifs (l’oxydation est en quelque sorte la « rouille » de la peau), en pénétrant très profond, jusqu’à l’hypoderme : en bref, ça accélère le vieillissement comme tout ce qui oxyde les cellules, et ça favorise aussi le développement des cancers de la peau.
* Deux de ces études indiquées en fin d’article.
Attention, on parle ici de la lumière bleue émise par le soleil, mille fois supérieure (c’est le chiffre exact) à celle émise par les écrans. Une heure d’exposition à la lumière bleue dehors correspond à 3 mois d’exposition à la lumière bleue des écrans. On peut donc sans se tromper dire que le danger est dehors, pas dedans.
Le nouveau produit que vous voyez sur cette photo, Avène SPF 50+ Intense Protect, est donc un produit d’extérieur (plage, randonnée, jardinage, balades, etc…), d’autant plus qu’il est efficace dans les conditions d’ensoleillement intense, et aussi pour les sports (dont nautiques) car il est extrêmement résistant à l’eau et à la transpiration.
Et Avène a fait ici un vrai saut technologique : le nouveau filtre créé, le TriAsorB, est le seul filtre actuel ayant la capacité de protéger contre la lumière bleue haute énergie visible.
La création d’un nouveau filtre solaire est un évènement exceptionnel et très rare, le TriAsorB est le résultat de 20 années de recherche des laboratoires Pierre Fabre.
Et ce tout en respectant l’environnement : comme les autres filtres utilisés chez Avène (auxquels il a été ajouté dans cette formule), il n’est toxique ni sur le corail, ni sur le phytoplancton, ni sur le zooplancton.
Bien sûr, Avène poursuit le travail engagé en 2016 avec Pur Projet, pour défendre la sauvegarde des écosystèmes marins en Indonésie (voir ma vidéo de 2018 à Bali sur le sujet).
Ce qui est intéressant c’est que c’est un filtre chimique, mais il reste totalement à la surface de la peau, il ne pénètre pas du tout (contrairement aux filtres minéraux nano, par exemple). A vrai dire c’est le premier filtre chimique capable d’absorber et de refléter les rayons nocifs, sans pénétrer.
Il protège évidemment aussi contre les UVB, et les UVA courts et longs.
Le produit fait visage et corps, ne contient pas de parfum, est adapté aux peaux sensibles, fragiles ou lésées, et à tous les âges (les bébés aussi, même si bien sûr il ne faut jamais exposer les bébés au soleil, mais on ne peut pas toujours les laisser à la cave ;-).
Il a été testé sous contrôle dermatologique, pédiatrique et ophtalmologique.
Sa couleur légèrement nude est la preuve de la présence de ce nouveau filtre, le Triasorb, car il est est jaune pour absorber le bleu (c’est le principe de la complémentarité des couleurs, le jaune est à l’opposé du bleu dans le spectre colorimétrique) (si un produit est transparent, il ne peut pas protéger contre la lumière bleue) ; mais quand on l’étale il devient invisible (a priori sur les peaux foncées aussi). Je l’ai bien sûr essayé, et en effet la légère teinte disparaît immédiatement quand on l’étale.
L’efficacité de ce filtre permet d’en mettre moins dans la formule, moyennant quoi le produit est un peu plus biodégradable (mais sachez qu’à ce jour aucun filtre solaire n’est biodégradable, quoi qu’on vous dise – d’autant que les excipients, c’est-à-dire le reste de la formule, ne l’est pas). Et le tube est recyclable.
Il y en a 150 ml et il coûte entre 18 et 20 euros selon les points de vente
Les quantités recommandées pour être protégé au niveau annoncé sont : la longueur d’1 doigt pour le visage (j’ai vérifié, ça fait bien une cuillère à café ;-), 1 doigt pour le cou, et 2 doigts pour chacune des autres zones du corps.
* Altération des cellules de la peau dès 1h d’exposition à la lumière bleue – Journal of Investigative Dermatology (2010) 130, 259 – 269 ; doi : 10.1038/jid.2009.194 ; published online 13 August 2009.
* La lumière bleue responsable de 25% des dommages cellulaires liés à l’exposition au soleil British Journal of Dermatology 2019 ; 180 : 597–603. 3 – Skin Pharmacol Physiol 2009